jeudi, juin 18, 2015

Amour éternel


Amour Eternel , tu es la joie qui dure et me fait du bien. La rosée du matin qui rafraîchit et fait vivre mon âme. Sagesse infinie puissant rocher de ma consolation, le véritable appui qui me secours au temps de la détresse. Oh Oh Seigneur, la merveille qui vient et restera toujours, la lumière qui vient éclairer notre univers.

refrain: Oui l'amour éternel qui remplit mon âme de tes merveilles, Oh quel immense amour, qui efface les traces de mes douleurs. Oh l'amour éternel qui me tient la main et qui me rassure. Oui l'amour éternel qui me soutient.(2x)

Amour Eternel, tu es la voix qui chante au pas de la tempête, le refrain de la vie qui adoucit et fais vivre mon âme, source de la paix qui fait marcher au-dessus de mes tourments Seigneur de là où je regarde tous mes déboires qui ne sont plus rien Seigneur.

Oh oh Seigneur, la merveille qui vient et restera toujours, la lumière qui vient éclairer notre univers

refrain: Oui amour éternel..............................

mardi, mai 05, 2015

Seigneur, sois attentif à ma prière

Bonsoir à tous, ce soir, je viens de lire cette belle prière de Saint Augustin.

Seigneur, sois attentif à ma prière

Seigneur, mon Dieu,

toi qui es la lumière des aveugles

et la force des faibles,

toi qui es aussi

la lumière des voyants

et la force des forts,

sois attentif à ma prière,

écoute les appels que je lance

du plus profond de ma misère.

Car si tu ne m’entends pas

et si tu te détournes de moi,

où puis-je aller

et à qui m’adresser ?

O mon Dieu, achève

d’illuminer mon esprit :

ta parole est ma joie,

plus agréable

que toutes les richesses,

tous les honneurs

et tous les plaisirs.

Donne-moi donc ce que j’aime,

car il est vrai que je l’aime

et c’est toi qui me l’as fait aimer :

ne me laisse point, Seigneur,

sans la plénitude de tes dons ;

ne m’abandonne pas,

je suis comme une plante

qui a besoin que tu l’arroses

en la favorisant de tes grâces.

Seigneur, aie pitié de moi,

exauce mon souhait.

Fais par ta miséricorde

que je trouve grâce devant toi,

pour me faire découvrir

les merveilles de ta parole.

Je te le demande

par notre Seigneur Jésus Christ,

ton Fils qui t’interpelle pour nous,

lui en qui sont contenus

tous les trésors de sagesse

que je cherche dans tes Livres.

Amen.

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Le Clyvia 


lundi, mai 04, 2015

Témoignage de Jacques Guggenheim

Je partage avec vous ce beau témoignage du pasteur Jacques Guggenheim.

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Souvent, des amis juifs m’interrogent, avec une certaine violence que je comprends : « Comment, toi qui es juif, peux-tu admettre que Jésus soit notre Messie, alors que nous avons tant souffert de la part de ceux qui se disent ses disciples ? »
J’aimerais répondre ici à mes parents et à mes amis…
Aussi loin que je remonte parmi mes ancêtres, tous sont juifs. Mes grands-parents sont originaires d’Alsace, de Lorraine et de Suisse.

Avant la terrible époque nazie, de nombreux Meyer vivaient à Wintzenheim, des Goetschel à Hagenthal. Mon arrière-grand-père fut président de la communauté juive de Bâle. D’autres s’appellent Blum, Rein, Wormser. Entre Saverne et Brumath se trouve la bourgade de Gougenheim. La majeure partie de la branche suisse de notre famille a émigré aux États-Unis. L’un d’eux a bâti un célèbre musée d’art moderne à New York : Salomon Guggenheim.


Je suis né à Paris en 1931 et j’ai été circoncis le huitième jour. Mon père était un modeste représentant des crayons Caran d’Ache. Pendant la guerre, en 1941, nous habitions à Lyon. À l’école, le camarade avec lequel je jouais m’a envoyé un jour son poing dans la figure en me disant : « Tiens, c’est pour toi, sale Juif ! ». J’ai pensé qu’il avait dû apprendre à haïr les Juifs dans sa famille et au catéchisme. Les journaux et la radio étaient pleins de mépris et de haine à notre égard.
En 1941-1942, un coup de poing n’était rien comparé aux rafles du Vel’d’hiv, aux wagons plombés et aux camps d’extermination. Dans cette civilisation qui se dit « chrétienne », de nombreuses atrocités ont été commises, et pas seulement contre les Juifs. Notre mémoire collective garde le souvenir des « conversions forcées », des massacres du temps des croisades et des tortures de l’infâme Inquisition. Le fait que ces crimes aient été commis par des gens prétendant servir le Messie d’Israël donne le vertige ! Plus près de nous, les pogroms de Pologne et de Russie, puis le génocide nazi ont fait des millions de victimes dans le silence le plus souvent complice de pays pourtant couverts de croix et d’églises. Tant de gens se disent « chrétiens » alors que leurs actes démentent cette affirmation. Il y eut cependant de merveilleuses exceptions, mais trop rares…
Le Messie affirme que l’on reconnaîtra ses disciples à l’amour qu’ils auront les uns pour les autres. Ils devront aussi rayonner la lumière, la paix, la joie et l’amour. Voici comment j’ai rencontré d’authentiques disciples du Messie d’Israël.
À la Chaux-de-Fonds, en Suisse, dans la maison où habitait ma grand-mère, vivait une famille de chrétiens engagés dans l’Armée du Salut. Mes parents me laissaient jouer avec leurs enfants. Souvent, je partageais leur repas du soir et je les entendais remercier Dieu pour la nourriture. Je les observais attentivement tandis qu’ils priaient. J’étais alors sensible à la réalité de Dieu à travers leur attitude empreinte de respect et de joie. À table, le père de mes amis lisait un passage de la Bible qu’il expliquait avec simplicité. Je me souviens de l’une de ses paroles : « Toi qui as le privilège d’être juif, le jour où tu reconnaîtras ton Messie, tu découvriras la richesse des promesses de Dieu pour Israël ! »
En 1942, nous avons pu échapper aux arrestations et nous réfugier à Vevey, au bord du lac Léman. C’est là que j’ai célébré ma Bar-Mitzva. J’avais atteint ma majorité religieuse en accomplissant cette mitzva (commandement) : « Dieu dit aux enfants d’Israël : gravez donc les paroles que je vous donne dans votre cœur et dans votre âme ». J’ai prononcé les mots avec mes lèvres, mais mon cœur n’a pas été touché...
À cette époque, mon père m’a envoyé vivre dans une famille de cultivateurs près du lac de Neuchâtel. Ils m’ont dit qu’ils possédaient une grande richesse dans leur maison : la Bible ! Quelle surprise ! Ils ont réussi à me rendre jaloux en me parlant de leur « trésor ». Ils m’ont fait part de leur reconnaissance envers le peuple juif : « Dieu nous a donné la Bible par l’intermédiaire de ton peuple : les patriarches, les rois et les prophètes d’Israël ont été inspirés par l’Esprit de Dieu afin de l’écrire. Plus tard, les disciples de Jésus-Christ étaient tous juifs, ils ont rédigé le Nouveau Testament ». Cette fois, mon intelligence et mon cœur furent touchés.

 J’étais étonné d’apprendre, par la bouche de cultivateurs suisses, que Jésus est « La Lumière promise par Dieu pour sauver les nations et qu’Il est la gloire d’Israël, peuple de Dieu » (Luc 2.32). Jaloux, je leur répliquais qu’eux, les chrétiens (ils étaient évangéliques), nous avaient volé notre bénédiction et notre héritage. Avec amour ils m’ont répondu qu’ils ne nous avaient en aucune façon volé notre héritage, mais qu’ils avaient ramassé « les miettes tombées de la table » (allusion à Matthieu 15.21-28). Ils m’ont aidé à comprendre que ma part m’attendait et qu’il me fallait venir la chercher là où elle se trouvait.

De retour dans ma famille, j’ai étudié aux Beaux-Arts de Lausanne. Pendant huit ans, j’ai vécu uniquement pour la peinture, c’était toute l’ambition de ma vie !
En 1954, je vivais dans un petit village sur l’île d’Ischia, au large de Naples, en Italie. Une question s’est imposée à moi : « Comment connaître Dieu ? ». Je me suis alors engagé tout entier dans cette recherche en me tournant vers des mouvements ésotériques et philosophiques. Les « maîtres » affirmaient qu’ils me conduiraient sur le chemin de la vérité. J’avais soif de connaître le sens de la vie et ma place dans l’univers. C’est alors que je suis tombé gravement malade et j’ai été conduit dans un hôpital à Naples. J’avais conscience que cette épreuve était permise par Dieu pour me donner l’occasion de faire le bilan de ma vie et de l’écouter, enfin, lui seul. Je me suis alors souvenu de mes rencontres avec les chrétiens de mon enfance : leur vie était droite et lumineuse, ce qui était loin d’être le cas de mes prétendus maîtres.
Une phrase que des chrétiens m’avaient adressée m’est alors revenue à la mémoire : « Toi qui es juif, le jour où tu invoqueras ton Messie et où tu le connaîtras comme ton Sauveur et ton Dieu, sache qu’il a le pouvoir de te délivrer. Il est Tout-Puissant, fidèle et vainqueur du péché et de la mort ! Et tu n’abandonneras pas la foi de tes pères, bien au contraire ! » Sur mon lit d’hôpital, j’ai invoqué le Messie d’Israël et je l’ai supplié de me délivrer. J’ai fait le vœu de lui appartenir, de le servir, s’il pouvait briser les chaînes physiques et morales qui me liaient au mal et à la mort.
Il l’a fait ! Lorsque je pense à cette époque de ma vie, je comprends la patience et la bonté de Dieu pour chacun de nous. 
Plusieurs versets du Psaume 107 me rappellent cette vérité et aussi cette époque de ma vie : « Célébrez l’Éternel, car il est bon, car son amour dure à toujours. Qu’ils le proclament, tous ceux que l’Éternel a délivrés, qu’il a sauvés des mains de l’oppresseur… Dans leur détresse, ils ont crié à l’Éternel et il les délivra de leurs angoisses. Il les fit sortir de l’ombre mortelle, il rompit les liens qui les retenaient. Qu’ils louent donc l’Éternel pour son amour, pour ses miracles en faveur des hommes ! Car il a brisé les portes de bronze, il a rompu les verrous de fer […] »
Peu de temps après, je me suis retrouvé convalescent en France, à Nancy. Au fond d’un tiroir, j’ai découvert une Bible aux pages jaunies, mais personne n’était là pour m’aider à la comprendre. Je voulais expier mes fautes et j’étais prêt à partir en Israël pour travailler la terre dans un kibboutz. Tandis que je marchais en ville, je vis une affiche annonçant des études bibliques : « Le Messie Jésus est Le Chemin, La Vérité et La Vie ! » (Jean14.6). Je suis entré dans la salle où se tenait cette rencontre et quelqu’un a répondu aux questions que je me posais. Le pardon, la justice ne s’obtiennent pas par nos efforts et nos œuvres, ni par l’accomplissement scrupuleux des « mitzvot », mais par la foi au Messie Jésus qui a donné sa vie pour nous : « Le Père m’aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi-même ; j’ai le pouvoir de la donner et j’ai le pouvoir de la reprendre ; tel est l’ordre que j’ai reçu de mon Père » (Jean 10.17-18).
Un obstacle majeur s’est alors dressé sur mon chemin : la tradition juive. Comment admettre que les piliers de notre peuple, les rabbins, les sages, les maîtres du judaïsme, aient pu se tromper au sujet du Messie ? J’avais le vertige. Je me sentais seul devant ces géants…
Durant plusieurs mois, j’ai étudié la Bible et les nombreux parallèles entre la Première et la Nouvelle Alliance (Ancien et Nouveau Testaments). La nuit, je me levais pour vérifier ces textes et interroger Dieu. La lecture approfondie de la Lettre aux Hébreux (adressée, donc, à des Juifs messianiques !) dans le Nouveau Testament, a été une aide décisive.
Finalement, les nombreux textes du Tana’h, la Bible hébraïque, qui évoquent le Messie m’ont convaincu, malgré la tradition juive et la crainte d’affronter le mépris et l’incompréhension : en Yechoua (nom hébreu de Jésus, qui veut dire « Dieu sauve »), l’Éternel, notre Dieu, nous rachète et nous sauve. Jésus est bien notre Messie, il est l’accomplissement des promesses que Dieu a données à notre père Abraham : « Tous les peuples de la terre seront bénis à travers toi. » (Genèse 12.1-3).
Quelque temps après je suis allé revoir les amis chrétiens que j’ai mentionnés. Ce fut une magnifique confirmation : un chrétien véritable ne peut être raciste, ni antisémite, ni déloyal, ni meurtrier, sinon il renierait son Maître. L’enseignement de notre Messie indique de quelle manière doivent vivre ceux qui veulent le suivre : « Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent. Priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent. Alors vous serez fils de votre Père qui est dans les cieux, car Il fait lever son soleil aussi bien sur les méchants que sur les bons, il fait pleuvoir sur les justes comme sur les injustes… C’est ainsi que l’on reconnaît un arbre que Dieu a planté : aux fruits qu’il porte » (Matthieu 5.43-48 ; 7.15-20).
Depuis 1956, ma vie a changé et je peux rendre témoignage que le Messie aide, soutient et relève tous ceux qui l’invoquent : « L’Éternel change la terre aride en sources jaillissantes ». C’est un message d’amour pour nos parents et nos amis, pour tout le peuple juif, comme pour toutes les familles et nations de la terre. Jésus l’a déclaré : « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne meure pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3.16).
Passez une journée bénie.





Jacques Guggenheim

jeudi, avril 16, 2015

Témoignage de Véronique Levy juive convertie au Christianisme.

Témoignage très touchant de Véronique Lévy au Christ . Elle est interviewée par Jean-Pierre Elkabbach sur la chaîne Public Sénat. 
Comme Aron Jean-Marie Lustiger, elle se dit "juive accomplie" avec sa conversion. 
Voici un témoignage bouleversant de foi en Christ (Dieu venu auprès de nous par suprême miséricorde, pour nous sauver et nous faire goûter le bonheur de Dieu). Merci de votre compréhension :)
La sœur cadette de l'écrivain Bernard-Henri Lévy publie un livre "Montre-moi ton visage" (http://www.amazon.fr/Montre-moi-ton-v...) dans lequel elle raconte sa conversion. Le premier dimanche de carême de l'année 2012, la nef de Notre-Dame de Paris était pleine à craquer. Une cérémonie présidée par Mgr Vingt-Trois rassembla les adultes qui devaient être baptisés quarante jours plus tard, dans la nuit de Pâques.
Lorsque Véronique annonça à son frère qu'elle allait être baptisée, «BHL» perçut tout de suite que ce n'était pas une lubie de sa petite sœur que personne, dans leur famille, ne prenait au sérieux. «À l'assurance et à l'intensité avec laquelle elle parlait, j'ai compris que ce n'était pas un enfantillage mais une authentique expérience intérieure, dit-il. J'ai été très vite impressionné aussi par son degré de connaissance en théologie chrétienne mais aussi juive, dont elle ne savait pourtant rien avant.» Bernard, comme l'appellent ses proches, est bouleversé. Impressionné d'abord par la transformation de Véronique: elle était fragile, instable ; il constate qu'une force nouvelle l'anime et s'en réjouit. Mais une part de lui-même est attristée par cette conversion: «Qu'en auraient pensé nos parents? Pendant son baptême, je songeais que cet événement les aurait désolés. C'est une rupture comme il ne s'en était sans doute jamais produit dans cette lignée multimillénaire des Lévy, confie-t-il. J'avais aussi le sentiment d'avoir échoué à transmettre quelque chose à cette petite sœur qui pourrait être ma fille.»
http://www.lefigaro.fr/livres/2015/03...

samedi, avril 04, 2015

Jesus est-il le Messie attendu?

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Saviez-vous que la Bible est un livre essentiellement prophétique ? Au travers des paroles de plusieurs prophètes, elle nous délivre un message de la part de Dieu. Certaines prophéties de l'Ancien Testament concernent la venue d'un Messie, c'est-à-dire d'un Sauveur de l'humanité.


Ces différents textes ont été écrits entre –1500 et –500 avant J.C. Grâce à la traduction grecque des Septante remontant à –250 avant J.C. et grâce aux manuscrits de Qûmram datant de –200 (écrits contenant l'Ancien Testament dans son entier plus d'autres textes), nous avons les preuves formelles que ces prophéties ont été écrites bien avant la venue de Jésus-Christ
Or nous allons voir que la vie de Jésus correspond en tous points à celle du Sauveur annoncé. Voici quelques prophéties parmi toutes celles qui existent :

Le Sauveur naîtra miraculeusement d'une vierge :

« C'est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe : voici la vierge deviendra enceinte, elle enfantera un fils et elle lui donnera le nom d'Emmanuel » 
Emmanuel signifie "Dieu au milieu de nous": c'est justement l'autre nom de Jésus.

(livre du prophète Esaïe ch.7 v.14 - environ -700 avant J.C.)

Il sera Dieu fait homme :


« Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et la domination reposera son épaule. On l'appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix » (Livre du prophète Esaïe ch.9 v.5)

L'époque et le lieu de sa naissance (Béthléem) ont été prédits :


* Lieu de naissance : « Et toi, Bethléem Ephrata, petite entre les milliers de Juda, de toi sortira pour moi Celui qui dominera sur Israël, et dont les activités remontent aux temps anciens, aux jours de l'éternité » (livre du prophète Michée ch.5 v.1 - environ -700 avant J.C.).
Bethléem Ephrata est la ville près de Jérusalem où Marie a accouché de Jésus dans une étable.

* Date de naissance : « Depuis la sortie de la Parole pour rétablir Jérusalem jusqu'au Messie, il y a 7 semaines et 62 semaines… et après les 62 semaines, le Messie sera retranché » (livre du prophète Daniel ch.9 v.25-26 - environ -600 avant J.C.).


Après la destruction de Jérusalem par les Babyloniens, en –686, les Juifs déportés ont été autorisés à revenir dans leur pays et à rétablir leur capitale, en 450 avant J.C. Si l'on comprend qu'un jour de la prophétie correspond à une année réelle, 69 semaines d'années après –450 nous amènent à la troisième décennie de l'ère chrétienne, période du ministère et de la mort de Jésus Christ !

A un moment donné, le Sauveur entrera à Jérusalem sur un ânon :

« Sois transportée d'allégresse, fille de Sion ! Pousse des cris de joie, fille de Jérusalem ! Voici ton roi vient à toi, il est juste et victorieux ; il est humble et monté sur un âne, le petit d'une ânesse » (livre du prophète Zacharie ch.9 v.9 - environ -500 avant J.C.)
Or voici ce qui se passa lors de l'entrée de Jésus à Jérusalem : « ils amenèrent à Jésus un ânon sur lequel ils jetèrent leurs vêtements et firent monter Jésus… Lorsqu'il approchait de Jérusalem, toute la multitude, saisie de joie, se mit à louer Dieu à haute voix pour tous les miracles qu'ils avaient vus. Ils disaient : béni soit le roi qui vient au nom du Seigneur ! » (Evangile de Luc ch.19 v.35-38).

Il sera trahi :


« Ils pesèrent pour mon salaire 30 sicles d'argent. L'Eternel me dit : jette-le au potier, ce prix magnifique auquel ils m'ont estimé ! » (livre du prophète Zacharie ch.11 v.12-13)
Zacharie avait eu la révélation de ce qui se passerait pour Jésus : « Judas Iscariot alla vers les principaux sacrificateurs et dit : que voulez-vous me donner et je vous le livrerai. Ils lui payèrent 30 pièces d'argent… Pris de remords (Judas) rapporta les 30 pièces… ils achetèrent avec cet argent le champ du potier »(Evangile de Matthieu ch.26 et 27)


« Avec le bâton on frappe sur la joue le juge d'Israël » (livre du prophète Michée ch.4 v.14)
« Tous ceux qui me voient se moquent de moi : "recommande toi à l'Eternel !", "l'Eternel le sauvera, il le délivrera puisqu'il l'aime !"… une bande de scélérats rôdent autour de moi ; ils ont percé mes mains et mes pieds… ils se partagent mes vêtements, ils tirent au sort ma tunique » ; « pour apaiser ma soif ils m'abreuvent de vinaigre » (Psaumes prophétiques du roi David, n°22 et 69 v.22 ; environ -1000 avant J.C.)

Vous savez sans doute ce qui est arrivé à Jésus : 
« et quelques uns se mirent à cracher sur lui, à lui voiler le visage et à le frapper» (Evangile de Marc ch.14  et 15)
« les passants l'injuriaient : "il s'est confié en Dieu ; que Dieu le délivre maintenant , s'il l'aime !" … Après l'avoir crucifié, ils se partagèrent ses vêtements en tirant au sort » (Evangile de Matthieu ch.27 v.35-39)
« Jésus dit : "j'ai soif". Il y avait là un vase plein de vinaigre. Les soldats en remplirent une éponge et ils l'approchèrent de sa bouche » (Evangile de Jean ch.19 v.28-29)


Le Sauveur mourra pour délivrer les hommes de leurs péchés (le mal en chacun de nous) : 

« Il s'est élevé devant (Dieu) comme une faible plante…méprisé et abandonné des hommes… cependant ce sont nos souffrances qu'il a portées, c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé… Il était blessé pour nos péchés, brisés pour nos iniquités… L'Eternel a fait retomber sur lui toutes nos iniquités… Il s'est livré lui-même à la mort… il a porté les péchés de beaucoup d'hommes et il a intercédé pour les coupables » (livre du prophète Esaïe ch.53).
Or voici les paroles de Jésus : « Je donne ma vie pour mes brebis… Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même » (Evangile de Jean ch.10 v.15-17) ; « si le Fils (de Dieu) vous affranchit (du péché), vous serez réellement libres » (Evangile de Jean ch.8 v.36)
. Le prophète Jean-Baptiste, désignant Jésus a dit aussi : « voici l'agneau de Dieu qui ôte le péché du monde » (Evangile de Jean ch.1 v.29)


Il ressuscitera après sa mort : 


« Après avoir livré sa vie pour le péché… il prolongera ses jours » (livre du prophète Esaïe ch.53 v.10) ; 
«(Dieu) nous rendra la vie dans 2 jours. Le 3ème jour il nous relèvera et nous vivrons devant lui » (livre du prophète Osée ch.6 v.2 ; environ -700 avant J.C.)
Evangile de Marc ch.16 v.6 : «(un ange devant le tombeau vide, dit aux femmes :) vous cherchez Jésus qui a été crucifié ; il est ressuscité ; il n'est pas ici »

Il montera au ciel après sa mort : 

« Parole de l'Eternel à mon Seigneur : assieds-toi à ma droite, jusqu'à ce que je fasse de tes ennemis ton marchepied » (Psaume prophétique de David n°110 v.1)
Livres des Actes des apôtres ch.1 v.9 : « il fut élevé pendant qu'ils le regardaient et une nuée le déroba à leurs yeux »


Il reviendra à Jérusalem à la vue de tout le monde, à la fin des temps :

« Alors je répandrai sur les habitants de Jérusalem un esprit de grâce et de supplication et ils tourneront vers moi les regards, celui qu'il ont percé ; ils pleureront sur lui comme on pleure sur un fils unique » (livre du prophète Zacharie ch.12 v.10)
Voici ce qu'a dit Jésus avant sa mort : «(à la fin des temps) le signe du Fils de l'homme (c'est-à-dire Jésus) paraîtra dans le ciel ; toutes les tribus de la terre se lamenteront et elles verront le Fils de l'homme venant sur les nuées du ciel avec une puissance et avec une grande gloire » (Evangile de Matthieu ch.24 v.30). 

Tout ceci n'est-il pas extraodinaire ? Le parallèle entre les prophéties annonçant le Sauveur de l'humanité et la vie de Jésus montre une adéquation parfaite entre les deux. Aucun homme n'a le pouvoir d'influer sur le lieu, la date et le contexte de sa naissance ; non plus sur les pensées et les actes de l'ensemble de ses contemporains. Enfin, qui pourrait prédire sa résurrection ?

Le fait que tous les critères sur la naissance, la vie, la mort et la résurrection du Messie soient réunis en la personne de Jésus est l'une des preuves par excellence qu'il est bien celui qui avait été annoncé. Oui, Jésus est le Sauveur annoncé. Nul doute n'est possible ! Il est Dieu fait homme, pour nous. Il est celui qui s'est sacrifié à notre place pour nous délivrer du mal et de la souffrance. Il est vivant aujourd'hui et s'intéresse à nous. Saviez-vous qu'il veut vous permettre de recevoir l'amour de Dieu d'une façon personnelle et vivante, de recevoir l'assurance du salut et de la vie éternelle ?
Source : cliquez ici

samedi, mars 21, 2015

Je ne crains aucun mal




Ézéchiel 34
15 C'est moi qui ferai paître mes brebis, c'est moi qui les ferai reposer, dit le Seigneur, l'Eternel. 
16 Je chercherai celle qui était perdue, 
je ramènerai celle qui était égarée, 
je panserai celle qui est blessée, 
et je fortifierai celle qui est malade.

Aujourd'hui si vous vous sentez perdue, si vous êtes victime d'injustice et que personne ne vous défend, si votre coeur pleure, si vous êtes démuni, si toutes les portes sont fermées, si vous avez demandé conseil à vos parents, vos frères ou soeurs ou vos ami(e)s et que vous ne savez pas toujours pas dans quelle direction aller, n'hésitez pas, confiez vous à Jésus-Christ, le seul qui est là pour vous aider et vous dire la vérité. Il attend que vous lui parliez, il est patient et généreux, il veut vous aider, il vous aime. Ne croyez pas les calomnies que vous entendez à son sujet, les profanateurs. Jugez-en vous-même, sans peur.  
Voici ce que David écrivait après que le Seigneur l'eut délivré de ses dangers: 
Le Seigneur est mon berger : je ne manquerai de rien.
Il me fait reposer dans de verts pâturages, Il me dirige près des eaux paisibles.
Il restaure mon âme, 
Il me conduit dans les sentiers de la justice, A cause de son nom.
Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, 
Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : Ta houlette et ton bâton me rassurent.
Tu dresses devant moi une table, En face de mes adversaires ; Tu oins d’huile ma tête, Et ma coupe déborde.
Oui, le bonheur et la grâce m’accompagneront 
Tous les jours de ma vie, 
Et j’habiterai dans la maison de l’Eternel Jusqu’à la fin de mes jours. Psaume 23

Une prière
Seigneur, je viens à toi, confiant dans tes promesses de restauration et d'amour, tu es juste et tu sais tout de moi, moi, je suis perdu et désemparé, aide-moi, libère-moi, montre moi le chemin, redonne moi espoir car Tu as les paroles de la vie éternelle. Tu m'écoutes et ta parole est toute puissante. Au nom de Jésus, notre sauveur et rédempteur. Amen. 

samedi, mars 14, 2015

Vis le jour d'aujourd'hui.



Vis le jour d'aujourd'hui
Auteur : Soeur Odette Prévost


Vis le jour d’aujourd’hui,
Dieu te le donne, il est à toi.
Vis le en Lui.

Le jour de demain est à Dieu
Il ne t’appartient pas.
Ne porte pas sur demain
le souci d’aujourd’hui.
Demain est à Dieu,
remets le lui.

Le moment présent est une frêle passerelle.
Si tu le charges des regrets d’hier,
de l’inquiètude de demain,
la passerelle cède
et tu perds pied.

Le passé ? Dieu le pardonne.
L’avenir ? Dieu le donne.
Vis le jour d’aujourd’hui
en communion avec Lui.

Et s'il y a lieu de t'inquiéter pour un être aimé,
regarde-le dans la lumière du Christ ressuscité.


Soeur Odette Prévost
petite soeur de Charles de Foucault
assassinée en Algérie le 10 novembre 1995