mercredi, janvier 08, 2014

Arrêtons le massacres des chrétiens en terre d'islam

Chrétiens-persécutés-1
 Les persécutions contre les chrétiens sont en augmentation dans la plupart des pays d'Afrique subsaharienne, affirme Portes ouvertes, une organisation non gouvernementale évangéliste, dans un rapport publié mercredi.
La Centrafrique, où l'armée française tente depuis début décembre d'empêcher les massacres interethniques et interreligieux, entre ainsi pour la première fois, à la 16e place, dans l'index mondial de persécution des 50 pays où les chrétiens sont les plus menacés.

 Michel Varton, directeur de Portes ouvertes France, déclare:
"Nous ne voulons pas dire que tous les musulmans sont contre les chrétiens. D'ailleurs, les rebelles de la Séléka -la coalition de milices musulmanes qui a chassé du pouvoir l'ex-président François Bozizé en mars 2013- sont à 90% des étrangers", a-t-il précisé lors d'une conférence de presse.
Il faut en revanche, selon lui, faire une différence entre les rebelles de la Séléka qui ne s'en prennent qu'aux chrétiens, et les milices chrétiennes qui exercent des violences dans une logique d'autodéfense.

Grâce à l'intervention française de début 2013 qui a chassé les groupes djihadistes du nord du pays, le Mali est passé du 7e au 33e rang
"L'Afrique subsaharienne devient un champ de bataille pour l'Eglise", résume le rapport, qui voit la Somalie occuper la 2e place de l'index cette année.
Portes ouvertes note une augmentation des persécutions contre les chrétiens dans les Etats "défaillants", catégorie qui recoupe la précédente mais inclut également des pays comme l'Irak, l'Afghanistan, le Pakistan, le Yémen ou la Syrie.
"En Syrie, il y a une autre guerre qui prospère à l'ombre de la guerre civile, c'est la guerre contre l'Eglise", affirme Michel Varton.
Selon le rapport, le pays détient en 2013 le record des assassinats de chrétiens. On en aurait recensé 1.213, soit plus qu'au Nigeria qui arrive en deuxième position dans cette catégorie.
Pour établir son index, l'ONG affirme recouper les informations recueillies sur le terrain, auprès des ONG et des églises chrétiennes, avec celles attestées par les médias.
La Corée du Nord, l'un des derniers pays se disant communiste, reste depuis plusieurs années en tête du palmarès.
Frères et soeurs, prions pour que ces meurtres s'arrêtent, pour que les leaders de ces pays encouragent la paix, condamnent ces assassinats et poursuivent ces criminels. Seigneur, nous te demandons de comforter les familles des victimes, que leur foi ne vacille pas, qu'ils soient forts et vaillants, que tu les guides et que tu les protèges. Pour ta gloire. Au nom de Jésus-Christ, notre Roi.

mardi, décembre 24, 2013

Joyeux Noël!

Je partage avec vous ce cantique de Noël, Il est né le divin enfant, interprété par les petits chanteurs d'Aix.
Quelle joie d'entendre ces enfants chanter avec tant de brio! Steven a préparé le repas de demain, une dinde et un farci qui je crois contient du canard que des amis nous ont donné. Mon mari donc adore cuisiner et ajoute un grain de fantaisie dans ses préparations ce qui nous plait énormément! Il a aussi fait deux sortes de pain, du pain aillé et du pain blanc avec diverses graines, sésame, ...
Pendant ce temps-là je suis descendue à Bristol en voiture chercher notre fille ainée puisque tous les trains étaient soit en retard soit annulés à cause de la tempête qui s'est abattue dans le sud-ouest de l'Angleterre hier soir. En fait, à part un peu de vent, il a fait soleil et la circulation était assez facile. Pendant le trajet qui a duré environ deux heures, j'ai écouté Classic FM, c'est une station de radio de musique classique comme son nom l'indique et ils ont diffusé plein de cantiques et de chants de Noël.
Nous allons nous rendre au service de minuit qui commence à 23 heures trente. Cette semaine a été marquée par des hauts et des bas, et je rends grace au Seigneur pour sa patience et son aide dans toutes sortes de situations, certaines étant imprévues.
Que le Seigneur vous bénisse en ce temps de fêtes et qu'il vous soutienne et vous fortifie par sa parole. Au nom de Jésus, notre sauveur. Nicky

lundi, novembre 18, 2013

Félix Neff..un évangéliste infatigable

Ce soir, j'ai eu le temps et le plaisir de lire les blogs de mes ami/es et voici que j'ai trouvé une citation de Félix Neff, et je dois dire que ce nom ne me disait rien du tout. J'ai fait un peu de recherche et voici ce que j'ai trouvé sur le site de la Revue réformée net.

Le Réveil francophone du XIXe siècle débuta à Genève, peu après 1810, et fut marqué à la fois par une influence morave et un enracinement dans l’orthodoxie calviniste. De la ville de Calvin, il se répandit très vite dans toute la francophonie. Renouveau de la foi et de la théologie, il eut aussi un impact dans le domaine social, dont le fruit se fit sentir en Europe et en terre de mission tout au cours du XIXe siècle.

Le premier à retenir notre attention est Félix Neff (1797-1829), un des convertis du Réveil de Genève. Il travailla avec un zèle infatigable dans les vallées de Fressinières et du Queyras, dans les Hautes-Alpes françaises. Régions impropres à l’habitat humain où, des siècles auparavant, avaient dû se réfugier les descendants des disciples de Valdo pour échapper aux massacres. Au fil du temps, isolement et consanguinité aidant, cette population était tombée dans la déchéance et une misère indicible. Voici comment Neff décrit ses premières impressions: «Beaucoup de maisons sont sans cheminées et presque sans fenêtres. Toute la famille, pendant les sept mois de l’hiver, croupit dans le fumier de l’étable, qu’on ne nettoie qu’une fois par an. Leurs vêtements, leurs aliments sont aussi grossiers et aussi malpropres que le logement. On cuit du pain de seigle une fois par an. Les femmes sont traitées avec dureté, elles ne s’asseyent presque jamais et ne mangent pas avec les hommes; ceux-ci leur donnent quelques pièces de pain et de pitance par-dessus l’épaule, sans se retourner; elles reçoivent cette chétive portion en baisant la main et en faisant une profonde révérence. Les habitants de ces tristes hameaux étaient si sauvages à mon arrivée qu’à la vue d’un étranger ils se précipitaient dans leurs chaumières.»4 C’est la prédication de l’Evangile dans sa simplicité qui va être la puissance capable de transformer ce triste tableau!

Neff devait faire à pied 230 kilomètres pour visiter l’ensemble des hameaux de sa paroisse, ce qu’il faisait fidèlement chaque trois semaines, par tous les temps, parcourant 1600 à 1800 kilomètres par année, franchissant des cols en plein hiver, parfois avec de la neige jusqu’aux cuisses. Il dit n’avoir pas dormi cinq nuits de suite dans le même lit (le terme lit est un euphémisme…) durant quatre ans. Lorsqu’il arrive, même au milieu de la nuit, les habitants de ces hameaux reculés se réunissent pour écouter ses messages. On passe les veillées dans les étables; on chante des psaumes, on explique quelques paroles de la Bible, Neff fait le catéchisme, appelle à la repentance et à la conversion dans le plus pur style du Réveil, déclenchant parfois des torrents de larmes. Avant tout évangéliste, il fut l’instrument d’un réveil spirituel qui, comme ce fut le cas pour son modèle Jean-Frédéric Oberlin, toucha tous les domaines de l’existence. Ce Réveil fut long à venir, mais porta des fruits remarquables, éveillant cette population fruste et quasi abandonnée par les Eglises en un pays qui s’éveille à une foi vivante et à une activité économique entièrement renouvelée.
Il fallut construire des maisons plus salubres et des écoles. Jusque-là, les classes, quand il y en avait et c’était rare, se tenaient dans d’humides et obscures étables où, selon Neff, les écoliers, enfoncés dans le fumier, devaient défendre leurs cahiers et leurs livres des poules et des chèvres qui sautaient sur la table.

Neff fonda à Dormillouse, en 1825, une école pilote pour former des instituteurs: ce fut la première école normale de France, à 1800 mètres d’altitude! Durant les quelques mois d’une session, les élèves travaillaient jusqu’à quatorze heures par jour.
L’évangéliste initia la population à de nouvelles cultures, notamment la pomme de terre, jusqu’alors quasi improductive (Neff avait fait, dans sa jeunesse, un apprentissage de jardinier). Il recruta une cinquantaine d’hommes pour des travaux communautaires, afin de créer des canalisations pour diriger l’eau des torrents, qui se perdait dans les ravins, vers les pâturages et les jardins potagers.
L’«apôtre des Hautes-Alpes» meurt, épuisé par sa tâche, à l’âge de 32 ans, figure exemplaire du Réveil alliant le zèle pour l’évangélisation à l’engagement pour améliorer l’existence d’une population vivant dans un grand dénuement.

vendredi, novembre 15, 2013

La théorie du Big Bang démontée par 33 scientifiques de haut niveau!

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Le paradis terrestre - Brueghel
Nous avons traduit ici cet article remettant en cause la théorie de la création de l’univers prévalente: celle du Big Bang.

Au delà de la validité scientifique de la théorie du Big Bang et des théories alternatives, il semble une fois de plus que la science, en tout cas le processus scientifique même, a été une fois de plus détourné par des intérêts particuliers. Tout comme la science tronquée entourant les hypothèse érigées en dogme par des scientifiques politisés du réchauffement climatique anthropique, hypothèse désavouée depuis 2009 ou autre exemple l’hypothèse de l’origine biotique (« fossile ») du pétrole que nous avons longuement évoquée sur ce blog et qui ne semble avoir aucun fondement scientifique, la théorie cosmologique du Big Bang semble avoir été érigé en un dogme indiscutable que ses gardiens défendent becs et ongles… pour des intérêts financiers évidents.

Le fait est de constater que la science a été kidnappée et qu’il est de plus en plus difficile de croire des scientifiques qui ont reniés les méthodes la plus élémentaire de recherche scientifique, tel semble encore être le cas avec la théorie du Big Bang…

Scientifiques ! Sortez du carcan corporatiste et l’illusion du profit. C’est pour l’humanité que vous travaillez, pas pour une « élite » arrogante auto-proclamée.

– Résistance 71 –

La théorie du Big Bang démontée par 33 scientifiques de haut niveau

Nos idées à propos de l’histoire de l’univers sont dominées par la théorie du big bang. Mais cette dominance a plus à faire avec une histoire de financement que de méthode scientifique, d’après Eric Lerner, le mathématicien Michael Ibison d’Earthtech.org et de douzaines d’autres scientifiques à travers le monde.

Une lettre ouverte à la communauté scientifique

Cosmology Statement.org (Published in New Scientist, May 22-28 issue, 2004, p. 20)

http://www.rense.com/general53/bbng.htm

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Aujourd’hui, la théorie du big bang dépend d’un nombre croissant d’entités hypothétiques, de choses que nous n’avons jamais observées, l’expansion, la matière noire, l’énergie noire en sont les meilleurs exemples. Sans elles, il y aurait une contradiction fatale entre les observations faites par les astronomes et les prédictions de la théorie du big bang.

Dans aucun autre domaine de la physique ne serait accepté ce recours perpétuel à de nouvelles hypothèses acceptées afin de connecter le fossé entre la théorie et l’observation. Ceci produirait au moins DE SERIEUSES QUESTIONS A PROPOS DE LA VALIDITE DE LA THEORIE SOUS-JACENTE.

Mais la théorie du big bang ne peut pas survivre sans ces facteurs correctifs. Sans l’hypothèse du champ d’expansion, le big bang ne prévoit pas le fond de radiation isotropique cosmique qui est observé, parce qu’il n’y aurait aucun moyen pour des parties de l’univers qui sont maintenant éloignés de juste quelques degrés dans le ciel d’être à la même température et ainsi d’émettre la même quantité de radiation micro-onde.

Sans une certaine forme de matière noire, à l’encontre de ce que nous avons observé sur terre malgré 20 années d’expériences, la théorie du big bang établit des prédictions contradictoires concernant la densité de la matière dans l’univers. L’expansion demande une densité 20 fois supérieure à celle qui serait impliquée dans la nucléo-synthèse du big bang, qui constitue l’explication par la théorie de l’origine des éléments de lumière. Et sans énergie noire, la théorie prédit que l’univers ne serait vieux que de 8 milliards d’années, ce qui est des milliards d’années plus jeune que beaucoup d’étoiles dans notre galaxie.

De plus, la théorie du big bang ne peut donner aucune prédictions quantitatives qui auraient été vérifiées ensuite par l’observation. Les succès clâmés par les supporteurs de la théorie consiste en l’habileté à faire conïncider rétrospectivement des observations avec un nombre augmentant sans cesse de paramètres ajustables, de la même façon dont la vieille cosmologie de Ptolémée qui voyait la Terre comme centre de l’univers, avait besoin de plusieurs couches d’épicycles.

De fait la théorie du big bang n’est pas le seul système à disposition pour comprendre l’histoire de l’univers. La cosmologie plasmique et le modèle d’univers constant tous deux font l’hypothèse d’un univers évoluant sans début ni fin. Celles-ci ainsi que d’autres approches alternatives peuvent aussi expliquer les phénomènes de base du cosmos, incluant l’abondance des éléments de lumière, la création de structure à grande échelle, le fond de radiation cosmique et comment le redshift des galaxies très lointaines augmentent avec la distance. Elles ont même prédit de nouveaux phénomènes qui ont été depuis observés, chose que la théorie du big bang n’a pas réussi à faire.

Les supporteurs de la théorie du big bang pourront toujours rétorquer que ces théories n’expliquent toujours pas toutes les observations cosmologiques. Mais cela n’est guère surprenant dans la mesure où leur développement a complètement été bloqué par un manque de fonds. En fait, ces questions et alternatives ne peuvent même pas être discutées et examinées librement. Un échange ouvert d’idées est totalement inexistant dans la vaste majorité des conférences connues.

Là où Richard Feynman aurait pu dire que “la science est la culture du doute”, dans le monde de la cosmologie aujourd’hui, le doute et la dissidence ne sont absolument pas tolérés; ainsi de jeunes scientifiques apprennent à rester silencieux s’ils ont quelque chose de négatif à dire à propos du modèle standard du big bang. Ceux qui doutent de la théorie du big bang ne veulent le dire de peur que cela ne leur coûte leurs fonds de recherche.

Même les observations sont maintenant interprêtées à travers ce filtre biaisé et jugées justes ou fausses en fonction de si elles supportent la théorie du big bang ou pas. Il y a beaucoup de données contradictoires sur le redshift,, les abondances de lithium et d’hélium, la distribution des galaxies, entr’autres sujets, qui sont soit ignorées, soit tournées en ridicule. Ceci est le reflet d’une mentalité dogmatique croissante qui est totalement étrangère à l’esprit de la recherche scientifique libre.

De nos jours, virtuellement toutes les ressources financières et expérimentales en cosmologie sont dévouées aux études et la recherche sur le big bang. Le financement ne provient que de sources réduites et tous les comités de révision des pairs qui contrôlent le financement sont dominés par les adeptes de la théorie du big bang. De fait, la dominance du big bang au sein de cette communauté est devenue auto-suffisante et ce quelque soit la validité scientifique de la théorie.

Ne donner un soutien qu’à des projets qui sont dans le cadre de travail de la théorie du big bang diminue un élément fondamental de la méthode scientifique: soumettre constamment la théorie à l’observation. Ce type de restriction rend impossible une recherche et une discussion impartiale. Afin de corriger ce défaut, nous implorons les agences qui disposent des fonds pour la recherche en cosmologie de réserver une bonne partie des fonds aloués pour la recherche dans les théories alternatives et les observations contradictoires au big bang. Pour éviter toute partialité, les comités de révision qui alouent ces fonds de recherche pourraient être composés d’astronomes et de physiciens résidant en dehors de la cosmologie.

Donner des fonds de recherche pour étudier la validité de la théorie du big bang et des théories alternatives permettrait au processus scientifique de déterminer notre modèle le plus précis concernant l’histoire de l’univers.

Signé:

(Institutions for identification only)

Eric J. Lerner, Lawrenceville Plasma Physics (USA)

Michael Ibison, Institute for Advanced Studies at Austin (USA) / Earthtech.org

www.earthtech.org http://xxx.lanl.gov/abs/astro-ph/0302273http://supernova.lbl.gov/~evlinder/linderteachin1.pdf

John L. West, Jet Propulsion Laboratory, California Institute of

Technology (USA)

James F. Woodward, California State University, Fullerton (USA)

Halton Arp, Max-Planck-Institute Fur Astrophysik (Germany)

Andre Koch Torres Assis, State University of Campinas (Brazil)

Yuri Baryshev, Astronomical Institute, St. Petersburg State University (Russia)

Ari Brynjolfsson, Applied Radiation Industries (USA)

Hermann Bondi, Churchill College, University of Cambridge (UK)

Timothy Eastman, Plasmas International (USA)

Chuck Gallo, Superconix, Inc.(USA)

Thomas Gold, Cornell University (emeritus) (USA)

Amitabha Ghosh, Indian Institute of Technology, Kanpur (India)

Walter J. Heikkila, University of Texas at Dallas (USA)

Thomas Jarboe, University of Washington (USA)

Jerry W. Jensen, ATK Propulsion (USA)

Menas Kafatos, George Mason University (USA)

Paul Marmet, Herzberg Institute of Astrophysics (retired) (Canada)

Paola Marziani, Istituto Nazionale di Astrofisica, Osservatorio Astronomico di Padova (Italy)

Gregory Meholic, The Aerospace Corporation (USA)

Jacques Moret-Bailly, Université Dijon (retired) (France)

Narlikar, IUCAA(emeritus) and College de France (India, France)

Marcos Cesar Danhoni Neves, State University of Maringá (Brazil)

Charles D. Orth, Lawrence Livermore National Laboratory (USA)

R. David Pace, Lyon College (USA)

Georges Paturel, Observatoire de Lyon (France)

Jean-Claude Pecker, College de France (France)

Anthony L. Peratt, Los Alamos National Laboratory (USA)

Bill Peter, BAE Systems Advanced Technologies (USA)

David Roscoe, Sheffield University (UK)

Malabika Roy, George Mason University (USA)

Sisir Roy, George Mason University (USA)

Konrad Rudnicki, Jagiellonian University (Poland)

Domingos S.L. Soares, Federal University of Minas Gerais (Brazil)

http://www.alterinfo.net/La-theorie-du-Big-Bang-demontee-par-33-scientifiques-de-haut-niveau_a61883.html