mardi, octobre 31, 2023

Jésus dit: Je suis la lumière du monde.

  



Jean 8:12

Jésus leur parla de nouveau. Il dit: «Je suis la lumière du monde. Celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura au contraire la lumière de la vie.»








lundi, octobre 30, 2023

Luc 12:24


 Luc 12:24

Considérez les corbeaux: ils ne sèment ni ne moissonnent, ils n'ont ni cellier ni grenier; et Dieu les nourrit. Combien ne valez-vous pas plus que les oiseaux!

Le but du potier. Pasteur Gérard Rigard


29 octobre 2023  Le but du potier!

Consultons l'Eternel

repartir à zéro

se repentir 


lundi, octobre 09, 2023

Ta délivrance o Eternel...

 

Paroles : J'écouterai ce que dit Dieu Car Il est droit pour qui l'écoute ; Sa paix divine est sur tous ceux Qui vont à Lui quand vient le doute ; Fidèlement je veux le suivre, Je veux marcher dans ses sentiers, Il est la main qui me délivre De la folie de mes projets. Refrain: Ta bienveillance, ô Éternel Vaut mieux que tout ce que j'ai vu ; Ma délivrance est sous ton aile, Sur le rocher de ton salut. Sa gloire est proche, son règne vient Et le pays est apaisé ; Lorsque la crainte est en chacun, Lorsque son nom est exalté, Marchons en paix, suivant son pas En justice et en vérité, Recevons tout ce qu'Il voudra, Ce que sa main veut nous donner.
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mercredi, octobre 04, 2023

Positionnez-vous pour le Christ!

 

Positionnez-vous pour le Christ!


Séparez-vous d'entre eux!

 


Etre un peuple adorateur et serviteur du Dieu vivant" Wendinsongdé Ouédraogo

Au moment fixé par le Seigneur!

 Le manque de foi dans l’attente

            Saül devait attendre sept jours Samuel ; mais il ne sait pas attendre la fin du jour fixé. Le peuple est tremblant, il se disperse, et Saül « agit follement » (1 Sam. 13 : 13). Il offre lui-même le sacrifice. Avant qu’il n’achève son acte profane, le prophète arrive. La désobéissance de Saül aura de graves conséquences.


            Sur la mer de Galilée, les disciples avaient vainement ramé toute la nuit. Jésus ne vient vers eux qu’à la quatrième veille de la nuit. Après cette longue attente, troublés, ils sont peu préparés à Le rencontrer et même à Le reconnaître. Ils ont perdu Jésus de vue et ne L’attendent plus. Ils croient voir un « fantôme » qui marche sur la mer (Job 9 : 8). Jésus doit se faire reconnaître : « Ayez bon courage ; c’est moi, n’ayez pas peur ! » (Matt. 14 : 24-27 ; Marc 6 : 47-52). Il vient une fois encore délivrer les siens de leurs angoisses !


            Seule la foi, en se confiant en Dieu, montre qu’elle sait attendre. Il faut vraiment croire que c’est Dieu qui opère, ce qui nous garde d’intervenir nous-même ; en attendant, prenons tout le temps nécessaire pour la prière. Sans toutefois négliger les « moyens » que Dieu met à notre disposition, allons un pas après l’autre, en nous attendant entièrement à Lui.

Qu’il s’agisse de chercher un travail, d’un mariage envisagé, d’un changement de domicile, d’une maladie ou d’autres circonstances imprévues, ne cherchons pas à « arranger » nous-même les choses, à les « hâter ». Ce serait oublier le cantique où l’on affirme : « Te laisser seul agir et nous tracer nos voies, Dieu de paix, Dieu d’amour… ».
            S’il Lui plaît d’ouvrir une porte ou de la maintenir ouverte, comme pour son serviteur, l’apôtre Paul (1 Cor. 16 : 9), c’est toujours une joie de comprendre que Sa main guide les choses. Cela nous donne de l’assurance pour la suite du chemin.
            Si des exercices ou une épreuve surviennent, cela fait partie des moyens que le Père emploie pour l’éducation de ses enfants. Il veut les former afin qu’ils soient peu à peu rendus semblables à Christ. Là aussi, nous pourrions perdre une bénédiction en cherchant à nous hâter, à intervenir, au lieu de nous attendre paisiblement à Lui. Nous lisons dans le livre du prophète Esaïe : « C’est pourquoi ainsi dit le Seigneur, l’Eternel : Voici, je pose comme fondement, en Sion, une pierre, une pierre éprouvée, une précieuse pierre de coin, un sûr fondement : celui qui se fie à elle ne se hâtera pas » (Es. 28 : 16).


L’image du cultivateur et du semeur

            « Prenons donc patience, frères, jusqu’à la venue du Seigneur » (Jac. 5 : 7a). Imitons le cultivateur qui « attend le fruit précieux de la terre : il prend patience à son égard, jusqu’à ce qu’il reçoive les pluies de la première et de la dernière saison » (v. 7b). Le cultivateur fait penser avant tout à Christ.
            Premièrement, Il a « pris de la peine » (2 Tim. 2 : 6). Venu ici-bas comme l’Agneau divin, Il s’est offert pour accomplir l’œuvre que Dieu lui avait donnée à faire. Mais Il a été ici-bas le divin semeur. Il attend le « fruit précieux de la terre », et bientôt, Il verra « du fruit du travail de son âme » (Es. 53 : 11). Quel exemple Il nous donne ! Nous sommes vite découragés si nous ne voyons pas assez rapidement, à notre avis, du « fruit » dans notre travail pour le Seigneur.
            Affermissons nos cœurs, « la venue du Seigneur est proche » (Jac. 5 : 8). Ce n’est pas seulement au niveau des circonstances de la vie que Dieu agit ; mais aussi dans le domaine spirituel

Là encore, il faut prendre patience jusqu’à ce que l’œuvre que Dieu poursuit soit accomplie dans les cœurs. Il faut semer, arroser dans la dépendance du Seigneur, et savoir attendre. Soyons conscients que jamais un grain de blé n’arrive à maturité du jour au lendemain ; inutile de gratter la terre pour voir où en sont les choses ; attendons que des germes apparaissent.

            Dans la parabole du semeur que le Seigneur présente, on voit que certaines graines ont été semées sur des endroits rocailleux ; elles ont crû rapidement ! Ce qui représente des personnes qui ont entendu la Parole et l’ont reçue aussitôt avec joie. Mais elles n’ont pas de racines en elles-mêmes et ne peuvent pas porter du fruit (Marc 4 : 16-17). Quand la tribulation ou la persécution surviennent à cause de la Parole, ces personnes sont aussitôt scandalisées.
          

  Il faut, avec foilaisser le temps à la Parole de Dieu de faire son œuvre. « Jette ton pain sur la face des eaux, car tu le trouveras après bien des jours. Donne une portion à sept, et même à huit ; car tu ne sais quel mal arrivera sur la terre…. Celui qui observe le vent, ne sèmera pas ; et celui qui regarde les nuées ne moissonnera pas... tu ne connais pas l’œuvre de Dieu qui fait tout » (Ecc. 11 : 1-5). Ensuite, comme le divin laboureur, ayons de la patience !


jeudi, août 31, 2023

Les puits d'Isaac!

 Alors qu’il y avait une famine dans le pays de Guérar, chez Abimélek, roi des Philistins, Isaac fit des semailles sur cette terre et récolta, cette année-là, le centuple. Le Seigneur le bénit, et Isaac devint un personnage important, de plus en plus important, jusqu’à devenir vraiment très important.

Il avait un troupeau de petit bétail, un troupeau de gros bétail et de nombreux serviteurs. Aussi les Philistins en furent-ils jaloux. Tous les puits qu’avaient creusés les serviteurs de son père Abraham, au temps de celui-ci, les Philistins les bouchèrent en les remplissant de terre. Abimélek, le roi des Philistins, dit à Isaac : « Va-t’en de chez nous, car tu es devenu beaucoup plus puissant que nous. »

Isaac s’en alla donc. Il campa dans la vallée de Guérar et y demeura. Isaac se mit à creuser de nouveau les puits d’eau qu’on avait creusés au temps d’Abraham, son père, et que les Philistins avaient bouchés après la mort d’Abraham. Et il leur donna les noms que leur avait donnés son père. Puis les serviteurs d’Isaac creusèrent dans la vallée et y trouvèrent un puits d’eaux vives.

Les péchés oubliés

https://lapepiniere.church/media/rkz2zxz/les-peches-oublies

lundi, août 14, 2023

Les pasteures

 

L’accès au pastorat ne se fit pas d’un seul coup. On parla tout d’abord de « ministères féminins », en se demandant en particulier si la spécificité des femmes ne devait pas les orienter vers des ministères spécialisés (aumôniers d’hôpitaux, de maisons des retraites, de mouvements de jeunesse). À Genève, en 1918, fut fondé un Institut des Ministères féminins qui prépara à l’exercice des fonctions d’« assistantes de paroisses » ou d’« aides-pasteurs ». Ce n’est que progressivement que toutes les restrictions tombèrent et que les femmes eurent le même statut que leurs collègues masculins. L’accès à la pleine responsabilité pastorale et sans discriminations aucunes se fit donc très progressivement et par étapes successives. 

Schématiquement, on peut distinguer 4 étapes ; 

d’abord un « ministère féminin » à côté du ministère pastoral et d’un rang inférieur à lui ; 

puis un ministère centré sur certaines formes (non paroissiales) du pastorat ou sur certaines de ses dimensions (la catéchèse, la prédication dans certains cas et pour un public particulier : personnes âgées, auditoire féminin...) ; 

troisième temps, un ministère pastoral à part entière, mais à condition d’être célibataire ; 

enfin le ministère pastoral dans toutes ses attributions que la femme soit mariée ou non.

  • 7 « Walk, my sister ». The ordination of women: reformed perspectives, 1992: 165.

6En 2001, en France, les femmes formaient 15 % du corps pastoral de la Fédération Protestante de France (157 femmes sur un total de 1032 pasteurs). Mais dans les deux principales Églises de cette Fédération, l’Église Réformée de France et l’Église de la Confession d’Augsbourg d’Alsace et de Lorraine (luthérienne), les taux atteignaient respectivement, en 2001, 23 % et 20 %. 

À l’échelle mondiale, la grande majorité des Églises Luthériennes et Réformées admettent aujourd’hui le ministère pastoral des femmes. Selon des statistiques de 1992 produites par l’Alliance Réformée Mondiale qui rassemble 177 Églises de tradition calviniste ou congrégationaliste de 87 pays -, seulement 25 % des Églises membres de cette Alliance n’acceptaient pas encore l’ordination des femmes7

Les femmes étant devenues pasteures, elles sont aussi amenées à ordonner d’autres femmes au ministère pastoral : ainsi, dès 1979 en Suisse alémanique (canton d’Argovie) une femme, la pasteure Sylvia Kolb consacrait-elle une autre femme, la pasteure Christine Nôthiger‑Strahm. 

Les origines sociales des pasteures se sont diversifiées et la majorité d’entre elles sont mariées. On voit aussi de plus en plus apparaître des couples pastoraux, c’est‑à‑dire des couples où l’homme, comme la femme, sont pasteurs. 

Alors que certains pasteurs, dans les années qui suivirent l’accès des femmes au pastorat, évoquèrent le risque d’une forte féminisation de la profession - comme, par exemple, celle du corps enseignant -, on est loin du compte quarante ans après l’officialisation pleine et entière du ministère pastoral des femmes dans les Églises Luthériennes et Réformées de France. La possibilité pour les femmes de devenir pasteur ne s’est pas traduite par un raz de marée féminin même si la proportion de femmes parmi les pasteurs augmente lentement au fil des ans.

  • 8 Cette enquête, qui a été financée par l’Association des Pasteurs de France et qui s’est déroulée da (...)

7Accéder à un rôle longtemps réservé aux hommes est une chose, l’exercer en est une autre. À cet égard, il est nécessaire d’étudier la façon même dont les femmes pratiquent le ministère pastoral. Le pratiquent-elles comme les hommes ou ont-elles leur manière à elles de le pratiquer ? Si la réponse à cette question est positive, cela signifie-t-il que les femmes, en accédant au ministère de pasteur dans les Églises protestantes, contribuent à le transformer, à le faire évoluer ? 

Quelle est la condition des pasteures aujourd’hui et en quoi leur façon même d’assumer le pastorat et de l’exercer révèle‑t‑il certaines mutations du rôle de pasteur ? Telles sont les questions qui sont au centre de l’enquête quantitative et qualitative effectuée en 1995-1998 auprès des pasteures exerçant dans l’une ou l’autre Église rattachée à la Fédération Protestante de France8

La présente contribution donne un premier aperçu des résultats de ces enquêtes en insistant sur le cadre général d’interprétation qui permet de les éclairer. La relative féminisation du pastorat participe en réalité d’une transformation plus générale de la pratique pastorale, une transformation allant dans le sens d’une décléricalisation encore plus marquée du ministère pastoral. La prise de responsabilité des femmes dans les Églises, au niveau ministériel, s’inscrit dans des évolutions plus générales concernant le religieux chrétien tel qu’il est vécu dans les sociétés occidentales actuelles, des évolutions qui engagent une redéfinition des rapports clercs/laïcs. 

Pour en savoir plus, lisez le compte-rendu de cette enquête ici

vendredi, août 04, 2023

N'endurcissez pas vos coeurs....

 

N'endurcissez pas vos coeurs...


04 DIEU A PARLE CHAPITRE 4 ENTRER DANS LE REPOS

 Par T.Austin-Sparks

 Chapitre 4 - Entrer dans le repos

 Lecture :

7  C’est pourquoi, selon ce que dit le Saint-Esprit : Aujourd’hui, si vous entendez sa voix,

8  N’endurcissez pas vos cœurs, comme lors de la révolte, Le jour de la tentation dans le désert,

9  Où vos pères me tentèrent Pour m’éprouver, et ils virent mes œuvres Pendant quarante ans.

10  Aussi je fus irrité contre cette génération, et je dis : Ils ont toujours un cœur qui s’égare. Ils n’ont pas connu mes voies.

11  Je jurai donc dans ma colère: Ils n’entreront pas dans mon repos !

12  Prenez garde, frères, que quelqu’un de vous n’ait un cœur mauvais et incrédule, au point de se détourner du Dieu vivant.

13  Mais exhortez-vous les uns les autres chaque jour, aussi longtemps qu’on peut dire : Aujourd’hui ! afin qu’aucun de vous ne s’endurcisse par la séduction du péché.

14  Car nous sommes devenus participants de Christ, pourvu que nous retenions fermement jusqu’à la fin l’assurance que nous avions au commencement,

15  pendant qu’il est dit : Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, N’endurcissez pas vos cœurs, comme lors de la révolte.

16  Qui furent, en effet, ceux qui se révoltèrent après l’avoir entendue, sinon tous ceux qui étaient sortis d’Egypte sous la conduite de Moïse ?

17  Et contre qui Dieu fut-il irrité pendant quarante ans, sinon contre ceux qui péchaient, et dont les cadavres tombèrent dans le désert ?


Je vous invite à consulter le site suivant le site de Pasteur Daniel

mercredi, juillet 26, 2023

L'impact d'une insulte ferait autant de mal qu'une gifle.

 Si les violences verbales sont connues de tous.tes, on connaît moins les réelles conséquences de ces mots sur notre cerveau.

Publiée dans la revue Frontiers in Communication le 18 juillet 2022, une étude de l'Université d'Utrecht (Pays-Bas). montre que le fait d'entendre des insultes serait similaire à celui de recevoir une "mini gifle", et ce, peu importe le contexte dans lequel ces injures ont été proférées (même, dans le cadre de blagues). 

"La manière dont les mots peuvent délivrer leur charge offensive et émotionnellement négative au moment où ils sont lus ou entendus n'est pas encore bien comprise", a déclaré Dr Marijn Struiksma, professeure adjoint à l’université d'Utrecht.

Anxiété, estime de soi en berne : les insultes peuvent "affecter le cerveau de manière significative"

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont mené une série d'expériences auprès de 79 participantes.

“Nous avons utilisé des enregistrements d'électroencéphalographie et de conductivité cutanée pour comparer l'impact à court terme d'insultes verbales telles que 'Linda est une idiote' ou 'Paula est horrible' à celui d'évaluations plus positives (par exemple, 'Linda est un ange', 'Paula est impressionnante') et de descriptions factuelles et neutres sur leur personne ('Linda est étudiante')”, précisent les chercheurs.

Les résultats ont ainsi montré que les insultes pouvaient affecter "de manière très significative" le cerveau des volontaires, même dans le cadre d'une interaction expérimentale, "sans interaction réelle entre les locuteurs".

“Les insultes déclenchaient une cascade d’effets comme de l'anxiété ou une estime de soi abîmée”, détaille Marijn Struiksma. “Certains d’entre eux se dissipaient rapidement, tandis que d’autres avaient tendance à persister”, ajoute-t-elle.

Violence conjugale ?


 Une personne victime de violence conjugale doit faire tout son possible pour se mettre en sécurité. Le moment le plus dangereux pour une victime de violence conjugale est souvent celui de son départ. Elle doit contacter la police et d’autres organisations d’aide locales. 

En France, le Numéro vert SOS Femme Violence conjugale propose de l’aide et de plus amples informations. Leur numéro est le 39-19. Le site http://www.solidaritefemmes.org/ propose également de l’aide en ligne. (NB : votre connexion peut être surveillée, il est donc important de ne visiter ce site que si votre agresseur n’y a pas accès). En cas de violence conjugale, la sécurité est la première priorité.

Même une fois que les victimes sont en sécurité et que leurs blessures physiques ont eu le temps de guérir, les blessures émotionnelles et psychologiques demeurent. La violence conjugale a également de profondes implications spirituelles. Les victimes peuvent douter de Dieu : pourquoi a-t-il permis cela ? est-il digne de confiance ? l’aime-t-il vraiment ? où était-il pendant que cela leur arrivait ? 
Le processus de guérison peut prendre du temps. Une réaction émotionnelle est nécessaire. Exprimer sa colère est tout à fait légitime. Tant que nous refoulerons notre colère, notre confusion, notre douleur, notre honte, etc., nous ne pourrons pas guérir. Il arrive trop souvent qu’on pousse les victimes à pardonner trop vite. En définitive, le pardon seul peut la libérer, mais il n’est possible qu’une fois les blessures engendrées par l’abus reconnues et guéries. Dans leur processus de guérison, les victimes de violence conjugale auront certainement besoin de l’aide d’un conseiller chrétien compétent.

Ne pensons pas que les personnes abusives n’ont pas d’autre besoin que celui de changer : leur comportement est certainement causé par des problèmes personnels non résolus. Il y a de l’espoir si une telle personne est prête à reconnaître sa culpabilité et à demander de l’aide. Là encore, un accompagnement chrétien peut s’avérer très utile.

Chaque cas de violence conjugale est différent. 
Les situations et personnes impliquées sont si diverses qu’un seul article ne suffit pas à aborder le sujet de manière exhaustive. D’une manière générale cependant, le conseil conjugal n’est pas une solution appropriée, en tout cas pas avant que toute forme d’abus ait cessé et que les deux parties aient bénéficié d’un accompagnement personnel et aspirent à la réconciliation. Il en est de même pour la thérapie familiale : il ne faut surtout pas mettre les enfants dans un cadre abusif ou leur demander d’accompagner un parent abusif dans son processus de changement.

La violence conjugale blesse le cœur de Dieu. Il n’est pas insensible au sort de ses victimes et ne les a pas abandonnées. Son plan pour les relations humaines, surtout pour la famille, est une très belle image de sa personne. 

La famille doit refléter son amour. Il est attristé de voir nos foyers devenir des lieux de souffrance. Il veut la guérison et la restauration des victimes comme de ceux qui se rendent coupables de violence conjugale.





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mardi, juillet 25, 2023

Le psaume 73, un psaume pertinent en ces temps difficiles!

 


73 Psaume d'Asaph. Oui, Dieu est bon pour Israël, Pour ceux qui ont le coeur pur.

Toutefois, mon pied allait fléchir, Mes pas étaient sur le point de glisser;

Car je portais envie aux insensés, En voyant le bonheur des méchants.

Rien ne les tourmente jusqu'à leur mort, Et leur corps est chargé d'embonpoint;

Ils n'ont aucune part aux souffrances humaines, Ils ne sont point frappés comme le reste des hommes.

Aussi l'orgueil leur sert de collier, La violence est le vêtement qui les enveloppe;

L'iniquité sort de leurs entrailles, Les pensées de leur coeur se font jour.

Ils raillent, et parlent méchamment d'opprimer; Ils profèrent des discours hautains,

Ils élèvent leur bouche jusqu'aux cieux, Et leur langue se promène sur la terre.

10 Voilà pourquoi son peuple se tourne de leur côté, Il avale l'eau abondamment,

11 Et il dit: Comment Dieu saurait-il, Comment le Très haut connaîtrait-il?

12 Ainsi sont les méchants: Toujours heureux, ils accroissent leurs richesses.

13 C'est donc en vain que j'ai purifié mon coeur, Et que j'ai lavé mes mains dans l'innocence:

14 Chaque jour je suis frappé, Tous les matins mon châtiment est là.

15 Si je disais: Je veux parler comme eux, Voici, je trahirais la race de tes enfants.

16 Quand j'ai réfléchi là-dessus pour m'éclairer, La difficulté fut grande à mes yeux,

17 Jusqu'à ce que j'eusse pénétré dans les sanctuaires de Dieu, Et que j'eusse pris garde au sort final des méchants.

18 Oui, tu les places sur des voies glissantes, Tu les fais tomber et les mets en ruines.

19 Eh quoi! en un instant les voilà détruits! Ils sont enlevés, anéantis par une fin soudaine!

20 Comme un songe au réveil, Seigneur, à ton réveil, tu repousses leur image.

21 Lorsque mon coeur s'aigrissait, Et que je me sentais percé dans les entrailles,

22 J'étais stupide et sans intelligence, J'étais à ton égard comme les bêtes.

23 Cependant je suis toujours avec toi, Tu m'as saisi la main droite;

24 Tu me conduiras par ton conseil, Puis tu me recevras dans la gloire.

25 Quel autre ai-je au ciel que toi! Et sur la terre je ne prends plaisir qu'en toi.

26 Ma chair et mon coeur peuvent se consumer: Dieu sera toujours le rocher de mon coeur et mon partage.

27 Car voici, ceux qui s'éloignent de toi périssent; Tu anéantis tous ceux qui te sont infidèles.

28 Pour moi, m'approcher de Dieu, c'est mon bien: Je place mon refuge dans le Seigneur, l'Éternel, Afin de raconter toutes tes oeuvres.

lundi, juin 26, 2023

Soumettez-vous donc à Dieu; résistez au diable, et il fuira loin de vous.

 Jacques 4

D'où viennent les luttes, et d'ou viennent les querelles parmi vous? N'est-ce pas de vos passions qui combattent dans vos membres?

Vous convoitez, et vous ne possédez pas; vous êtes meurtriers et envieux, et vous ne pouvez pas obtenir; vous avez des querelles et des luttes, et vous ne possédez pas, parce que vous ne demandez pas.

Vous demandez, et vous ne recevez pas, parce que vous demandez mal, dans le but de satisfaire vos passions.

Adultères que vous êtes! ne savez-vous pas que l'amour du monde est inimitié contre Dieu? Celui donc qui veut être ami du monde se rend ennemi de Dieu.

Croyez-vous que l'Écriture parle en vain? C'est avec jalousie que Dieu chérit l'esprit qu'il a fait habiter en nous.

Il accorde, au contraire, une grâce plus excellente; c'est pourquoi l'Écriture dit: Dieu résiste aux l'orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles.

7 Soumettez-vous donc à Dieu; résistez au diable, et il fuira loin de vous.

Approchez-vous de Dieu, et il s'approchera de vous. Nettoyez vos mains, pécheurs; purifiez vos coeurs, hommes irrésolus.

Sentez votre misère; soyez dans le deuil et dans les larmes; que votre rire se change en deuil, et votre joie en tristesse.

10 Humiliez-vous devant le Seigneur, et il vous élèvera.

11 Ne parlez point mal les uns des autres, frères. Celui qui parle mal d'un frère, ou qui juge son frère, parle mal de la loi et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n'es pas observateur de la loi, mais tu en es juge.

12 Un seul est législateur et juge, c'est celui qui peut sauver et perdre; mais toi, qui es-tu, qui juges le prochain?

13 A vous maintenant, qui dites: Aujourd'hui ou demain nous irons dans telle ville, nous y passerons une année, nous trafiquerons, et nous gagnerons!

14 Vous qui ne savez pas ce qui arrivera demain! car, qu'est-ce votre vie? Vous êtes une vapeur qui paraît pour un peu de temps, et qui ensuite disparaît.

15 Vous devriez dire, au contraire: Si Dieu le veut, nous vivrons, et nous ferons ceci ou cela.

16 Mais maintenant vous vous glorifiez dans vos pensées orgueilleuses. C'est chose mauvaise que de se glorifier de la sorte.

17 Celui donc qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas, commet un péché.