jeudi, décembre 26, 2019

Qui est Jésus-Christ?

Voilà ce que Jésus-Christ dit de lui:
Bonne soirée bénie. Que le Seigneur Vous garde et vous protège. Dans le nom puissant de Jésus-Christ notre Sauveur et Roi.

vendredi, décembre 20, 2019

le Seigneur dans la crèche - Jean 1:14


Le Seigneur dans la crèche – Jean 1 :14

Introduction
En cette saison de Noël, c’est merveilleux que beaucoup de personnes se rassemblent pour adorer Jésus-Christ comme nous le faisons ce soir.
Ce qui est triste c’est que beaucoup de gens dans le monde célèbrent aussi Noël mais seulement avec des cadeaux, ils mangent et boivent mais oublient pourquoi ils font la fête – c’est simplement une joyeuse fête.  
Lors de cette célébration de la naissance de Noel, je me demande ce que vous voyez. Est-ce le bébé dans la crèche entouré de visiteurs ou plus ? Je vous invite à voir plus.

Jean 1:14
Et la Parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père.
Jean nous rappelle que lorsque nous considérons Jésus, bébé, enfant ou homme, nous voyons plus que ça. Là dans la crèche, là dans cet homme, se trouve la Parole éternelle faite chair et qui habite parmi nous. Ceci est précisé dans l’expression littérale ‘planter sa tente parmi nous’. L’expression évoque l’image d’une tente et nous invite à retourner dans la tente où le Seigneur fut avec Moise et les enfants d’Israël dans le désert – le tabernacle, qui sera plus tard le temple où le Seigneur, comprenons-le, habitait.

‘Nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père’ endosse l’image de la présence de Dieu qui rappelle à ses lecteurs la colonne de nuée et de feu qui les accompagnait et les guidait et, qui pouvait être aussi à l’entrée du Tabernacle dans le désert, ce qui signifiait la présence du Seigneur et en même temps on considère la Transfiguration lorsque trois des disciples virent Jésus dans sa gloire avec Moïse et Elie.

Le Seigneur qui s’est fait homme, le créateur devient notre Rédempteur et Sauveur parce qu’Il nous aime. Il est retourné dans sa demeure éternelle et il nous invite à partager sa vie pour que nous puissions partager avec lui sa gloire éternelle qu’il a laissée et qui est notre héritage. Le savez-vous avec assurance?

La vie est bonne, elle est gratifiante et c’est un privilège merveilleux. La vie peut aussi être dure, pleine de difficultés – quelquefois insupportable. Avec Jésus-Christ, notre vie est transformée : en mieux mais pas toujours plus facile ; belle mais toujours un défi ; pénible mais avec l’assurance de la victoire à venir. Etes-vous encouragé par ça et sûr de ça?

Conclusion
Certains disent que le christianisme est un support pour soutenir les gens faibles, Jésus, le Dieu éternel qu’on a vu dans une crèche, faible et vulnérable. On l’a aussi vu pendu à la croix, faible et vulnérable. Mais ensuite, ressuscité en puissance et élevé à la plus haute place et il nous soutient et en lui nous puisons notre force et oui, je suis faible mais Il est ma force – loué soit-Il et loué soit le Père qui l’a envoyé et le Saint Esprit qui nous l’apporte – aujourd’hui et bien sûr demain.


mercredi, décembre 18, 2019

Ce lundi matin, pour nous réveiller!!!

8Mais toi, tu es le Très-Haut, A perpétuité, ô Eternel!
9Car voici, tes ennemis, ô Eternel! Car voici, tes ennemis périssent; Tous ceux qui font le mal sont dispersés.
10Et tu me donnes la force du buffle; Je suis arrosé avec une huile fraîche.
11Mon oeil se plaît à contempler mes ennemis, Et mon oreille à entendre mes méchants adversaires.
12Les justes croissent comme le palmier, Ils s'élèvent comme le cèdre du Liban.
13Plantés dans la maison de l'Eternel, Ils prospèrent dans les parvis de notre Dieu;
14Ils portent encore des fruits dans la vieillesse, Ils sont pleins de sève et verdoyants,
15Pour faire connaître que l'Eternel est juste. Il est mon rocher, et il n'y a point en lui d'iniquité.

Psaume 92

dimanche, décembre 15, 2019

Couvert par le sang de l'agneau!


Quand l'ennemi vient me séduire,
La porte est scellée.
Quand il vient troubler mon âme,
La porte est scellée.
Quand survient la tentation,
La porte est scellée.
Scellée par le sang précieux - Le sang de l'Agneau
Quand les soucis m'envahissent,
La porte est scellée.
Quand la tristesse m'environne,
La porte est scellée.
Quand je me sens en proies aux doutes,
La porte est scellée.
Scellée par le sang précieux - Le sang de l'Agneau.
Je suis - Je suis couvert.
Couvert par le sang – Je suis couvert.
Par le sang de l'Agneau - Je suis couvert.
Couvert par le sang – Je suis couvert.
Par le sang de l'Agneau
Quand l'ennemi vient m'attaquer,
La porte est scellée.
Quand qu'il veut me décourager,
La porte est scellée.
Et quand la vie veut m'angoisser,
La porte est scellée.


samedi, décembre 14, 2019

Le témoignage de Jacques Guggenheim!

Témoignage de Jacques Guggenheim

Le témoignage de Jacques Guggenheim!

Souvent, des amis juifs m’interrogent, avec une certaine violence que je comprends : « Comment, toi qui es juif, peux-tu admettre que Jésus soit notre Messie, alors que nous avons tant souffert de la part de ceux qui se disent ses disciples ? »
J’aimerais répondre ici à mes parents et à mes amis…
      Aussi loin que je remonte parmi mes ancêtres, tous sont juifs. Mes grands-parents sont originaires d’Alsace, de Lorraine et de Suisse. Avant la terrible époque nazie, de nombreux Meyer vivaient à Wintzenheim, des Goetschel à Hagenthal. Mon arrière-grand-père fut président de la communauté juive de Bâle. D’autres s’appellent Blum, Rein, Wormser. Entre Saverne et Brumath se trouve la bourgade de Gougenheim. La majeure partie de la branche suisse de notre famille a émigré aux États-Unis. L’un d’eux a bâti un célèbre musée d’art moderne à New York : Salomon Guggenheim.
      Je suis né à Paris en 1931 et j’ai été circoncis le huitième jour. Mon père était un modeste représentant des crayons Caran d’Ache. Pendant la guerre, en 1941, nous habitions à Lyon. À l’école, le camarade avec lequel je jouais m’a envoyé un jour son poing dans la figure en me disant : « Tiens, c’est pour toi, sale Juif ! ». J’ai pensé qu’il avait dû apprendre à haïr les Juifs dans sa famille et au catéchisme. Les journaux et la radio étaient pleins de mépris et de haine à notre égard.
      En 1941-1942, un coup de poing n’était rien comparé aux rafles du Vel’d’hiv, aux wagons plombés et aux camps d’extermination. Dans cette civilisation qui se dit « chrétienne », de nombreuses atrocités ont été commises, et pas seulement contre les Juifs. Notre mémoire collective garde le souvenir des « conversions forcées », des massacres du temps des croisades et des tortures de l’infâme Inquisition. Le fait que ces crimes aient été commis par des gens prétendant servir le Messie d’Israël donne le vertige ! Plus près de nous, les pogroms de Pologne et de Russie, puis le génocide nazi ont fait des millions de victimes dans le silence le plus souvent complice de pays pourtant couverts de croix et d’églises. Tant de gens se disent « chrétiens » alors que leurs actes démentent cette affirmation. Il y eut cependant de merveilleuses exceptions, mais trop rares…
      Le Messie affirme que l’on reconnaîtra ses disciples à l’amour qu’ils auront les uns pour les autres. Ils devront aussi rayonner la lumière, la paix, la joie et l’amour. Voici comment j’ai rencontré d’authentiques disciples du Messie d’Israël.
      À la Chaux-de-Fonds, en Suisse, dans la maison où habitait ma grand-mère, vivait une famille de chrétiens engagés dans l’Armée du Salut. Mes parents me laissaient jouer avec leurs enfants. Souvent, je partageais leur repas du soir et je les entendais remercier Dieu pour la nourriture. Je les observais attentivement tandis qu’ils priaient. J’étais alors sensible à la réalité de Dieu à travers leur attitude empreinte de respect et de joie. À table, le père de mes amis lisait un passage de la Bible qu’il expliquait avec simplicité. Je me souviens de l’une de ses paroles : « Toi qui as le privilège d’être juif, le jour où tu reconnaîtras ton Messie, tu découvriras la richesse des promesses de Dieu pour Israël ! »
      En 1942, nous avons pu échapper aux arrestations et nous réfugier à Vevey, au bord du lac Léman. C’est là que j’ai célébré ma Bar-Mitzva. J’avais atteint ma majorité religieuse en accomplissant cette mitzva (commandement) : « Dieu dit aux enfants d’Israël : gravez donc les paroles que je vous donne dans votre cœur et dans votre âme ». J’ai prononcé les mots avec mes lèvres, mais mon cœur n’a pas été touché...
      À cette époque, mon père m’a envoyé vivre dans une famille de cultivateurs près du lac de Neuchâtel. Ils m’ont dit qu’ils possédaient une grande richesse dans leur maison : la Bible ! Quelle surprise ! Ils ont réussi à me rendre jaloux en me parlant de leur « trésor ». Ils m’ont fait part de leur reconnaissance envers le peuple juif : « Dieu nous a donné la Bible par l’intermédiaire de ton peuple : les patriarches, les rois et les prophètes d’Israël ont été inspirés par l’Esprit de Dieu afin de l’écrire. Plus tard, les disciples de Jésus-Christ étaient tous juifs, ils ont rédigé le Nouveau Testament ». Cette fois, mon intelligence et mon cœur furent touchés. J’étais étonné d’apprendre, par la bouche de cultivateurs suisses, que Jésus est « La Lumière promise par Dieu pour sauver les nations et qu’Il est la gloire d’Israël, peuple de Dieu » (Luc 2.32). Jaloux, je leur répliquais qu’eux, les chrétiens (ils étaient évangéliques), nous avaient volé notre bénédiction et notre héritage. Avec amour ils m’ont répondu qu’ils ne nous avaient en aucune façon volé notre héritage, mais qu’ils avaient ramassé « les miettes tombées de la table » (allusion à Matthieu 15.21-28). Ils m’ont aidé à comprendre que ma part m’attendait et qu’il me fallait venir la chercher là où elle se trouvait.

         De retour dans ma famille, j’ai étudié aux Beaux-Arts de Lausanne. Pendant huit ans, j’ai vécu uniquement pour la peinture, c’était toute l’ambition de ma vie !
En 1954, je vivais dans un petit village sur l’île d’Ischia, au large de Naples, en Italie. Une question s’est imposée à moi : « Comment connaître Dieu ? ». Je me suis alors engagé tout entier dans cette recherche en me tournant vers des mouvements ésotériques et philosophiques. Les « maîtres » affirmaient qu’ils me conduiraient sur le chemin de la vérité. J’avais soif de connaître le sens de la vie et ma place dans l’univers. C’est alors que je suis tombé gravement malade et j’ai été conduit dans un hôpital à Naples. J’avais conscience que cette épreuve était permise par Dieu pour me donner l’occasion de faire le bilan de ma vie et de l’écouter, enfin, lui seul. Je me suis alors souvenu de mes rencontres avec les chrétiens de mon enfance : leur vie était droite et lumineuse, ce qui était loin d’être le cas de mes prétendus maîtres.
            Une phrase que des chrétiens m’avaient adressée m’est alors revenue à la mémoire : « Toi qui es juif, le jour où tu invoqueras ton Messie et où tu le connaîtras comme ton Sauveur et ton Dieu, sache qu’il a le pouvoir de te délivrer. Il est Tout-Puissant, fidèle et vainqueur du péché et de la mort ! Et tu n’abandonneras pas la foi de tes pères, bien au contraire ! » Sur mon lit d’hôpital, j’ai invoqué le Messie d’Israël et je l’ai supplié de me délivrer. J’ai fait le vœu de lui appartenir, de le servir, s’il pouvait briser les chaînes physiques et morales qui me liaient au mal et à la mort.
Il l’a fait ! 
       Lorsque je pense à cette époque de ma vie, je comprends la patience et la bonté de Dieu pour chacun de nous. Plusieurs versets du Psaume 107 me rappellent cette vérité et aussi cette époque de ma vie : « Célébrez l’Éternel, car il est bon, car son amour dure à toujours. Qu’ils le proclament, tous ceux que l’Éternel a délivrés, qu’il a sauvés des mains de l’oppresseur… Dans leur détresse, ils ont crié à l’Éternel et il les délivra de leurs angoisses. Il les fit sortir de l’ombre mortelle, il rompit les liens qui les retenaient. Qu’ils louent donc l’Éternel pour son amour, pour ses miracles en faveur des hommes ! Car il a brisé les portes de bronze, il a rompu les verrous de fer […] »
        Peu de temps après, je me suis retrouvé convalescent en France, à Nancy. Au fond d’un tiroir, j’ai découvert une Bible aux pages jaunies, mais personne n’était là pour m’aider à la comprendre. Je voulais expier mes fautes et j’étais prêt à partir en Israël pour travailler la terre dans un kibboutz. Tandis que je marchais en ville, je vis une affiche annonçant des études bibliques : « Le Messie Jésus est Le Chemin, La Vérité et La Vie ! » (Jean14.6). Je suis entré dans la salle où se tenait cette rencontre et quelqu’un a répondu aux questions que je me posais. Le pardon, la justice ne s’obtiennent pas par nos efforts et nos œuvres, ni par l’accomplissement scrupuleux des « mitzvot », mais par la foi au Messie Jésus qui a donné sa vie pour nous : « Le Père m’aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi-même ; j’ai le pouvoir de la donner et j’ai le pouvoir de la reprendre ; tel est l’ordre que j’ai reçu de mon Père » (Jean 10.17-18).
            Un obstacle majeur s’est alors dressé sur mon chemin : la tradition juive. Comment admettre que les piliers de notre peuple, les rabbins, les sages, les maîtres du judaïsme, aient pu se tromper au sujet du Messie ? J’avais le vertige. Je me sentais seul devant ces géants…
             Durant plusieurs mois, j’ai étudié la Bible et les nombreux parallèles entre la Première et la Nouvelle Alliance (Ancien et Nouveau Testaments). La nuit, je me levais pour vérifier ces textes et interroger Dieu. La lecture approfondie de la Lettre aux Hébreux (adressée, donc, à des Juifs messianiques !) dans le Nouveau Testament, a été une aide décisive.
            Finalement, les nombreux textes du Tana’h, la Bible hébraïque, qui évoquent le Messie m’ont convaincu, malgré la tradition juive et la crainte d’affronter le mépris et l’incompréhension : en Yechoua (nom hébreu de Jésus, qui veut dire « Dieu sauve »), l’Éternel, notre Dieu, nous rachète et nous sauve. 
Jésus est bien notre Messie, il est l’accomplissement des promesses que Dieu a données à notre père Abraham : « Tous les peuples de la terre seront bénis à travers toi. » (Genèse 12.1-3).
          Quelque temps après je suis allé revoir les amis chrétiens que j’ai mentionnés. Ce fut une magnifique confirmation : un chrétien véritable ne peut être raciste, ni antisémite, ni déloyal, ni meurtrier, sinon il renierait son Maître.            L’enseignement de notre Messie indique de quelle manière doivent vivre ceux qui veulent le suivre : « Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent. Priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent. Alors vous serez fils de votre Père qui est dans les cieux, car Il fait lever son soleil aussi bien sur les méchants que sur les bons, il fait pleuvoir sur les justes comme sur les injustes… C’est ainsi que l’on reconnaît un arbre que Dieu a planté : aux fruits qu’il porte » (Matthieu 5.43-48 ; 7.15-20).
Depuis 1956, ma vie a changé et je peux rendre témoignage que le Messie aide, soutient et relève tous ceux qui l’invoquent : « L’Éternel change la terre aride en sources jaillissantes ». C’est un message d’amour pour nos parents et nos amis, pour tout le peuple juif, comme pour toutes les familles et nations de la terre. Jésus l’a déclaré : « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne meure pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3.16).

mercredi, décembre 04, 2019

Jésus guérit un aveugle!

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MARC ch 8 v22:26

22Ils se rendirent à Bethsaïda; et on amena vers Jésus un aveugle, qu'on le pria de toucher. 
23Il prit l'aveugle par la main, et le conduisit hors du village; puis il lui mit de la salive sur les yeux, lui imposa les mains, et lui demanda s'il voyait quelque chose. 
24Il regarda, et dit: J'aperçois les hommes, mais j'en vois comme des arbres, et qui marchent. 
25Jésus lui mit de nouveau les mains sur les yeux; et, quand l'aveugle regarda fixement, il fut guéri, et vit tout distinctement.
 26Alors Jésus le renvoya dans sa maison, en disant: N'entre pas au village
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mardi, décembre 03, 2019

Les bontés de l'Eternel ne sont pas épuisées






Bonsoir mes frères et soeurs en Christ.
Je partage avec vous ces versets qui m'ont été donnés afin de vous donner de l'espoir et de vous encourager. 

Lamentations 3

21Voici ce que je veux repasser en mon coeur, Ce qui me donnera de l'espérance.
22Les bontés de l'Eternel ne sont pas épuisées, Ses compassions ne sont pas à leur terme;
23Elles se renouvellent chaque matin. Oh! que ta fidélité est grande!

Actes 3

18Mais Dieu a accompli de la sorte ce qu'il avait annoncé d'avance par la bouche de tous ses prophètes, que son Christ devait souffrir.
 19Repentez-vous donc et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés, afin que des temps de rafraîchissement viennent de la part du Seigneur, 
20et qu'il envoie celui qui vous a été destiné, Jésus-Christ, 
21que le ciel doit recevoir jusqu'aux temps du rétablissement de toutes choses, dont Dieu a parlé anciennement par la bouche de ses saints prophètes. 

Bonne soirée bénie.

lundi, décembre 02, 2019

Travailler la terre!

Ils voient Dieu à l’œuvre dans leur exploitation agricole



19.04.19 - Travailler la terre et en tirer le meilleur: une façon de servir Dieu. Quels sont les enjeux des agriculteurs d’aujourd’hui? Quelles sont les responsabilités des consommateurs? Dossier.
Joël  43 ans
Depuis dix ans, Joël travaille à temps plein pour son exploitation agricole, le GAEC Biotiful, «100% en agriculture bio», à Loriol dans la Drôme. Il avait démarré avec quelques hectares de vergers, en parallèle de son travail dans une association de recherche en agriculture bio puis à l’Institut national de recherche en agronomie (INRA).
Aujourd’hui, l’agriculteur chrétien est fier d’annoncer qu’il a même créé deux postes en contrat à durée indéterminée, une pratique rare dans le milieu agricole, plus habitué aux contrats courts et saisonniers. Elevé dans une famille chrétienne - son père était lui-même agriculteur - Joël Fauriel a grandi dans l’Eglise locale dont il a été chantre et membre du conseil d’administration. C’était avant de vivre un véritable «réveil» dans sa foi qui a eu des conséquences sur la gestion de son exploitation agricole. «Je me suis rendu compte que j’avais fait du travail et de l’argent des idoles.»
Cette prise de conscience l’a amené à être plus rigoureux dans ses comptes, à ne plus faire de «travail au noir» et à réduire drastiquement son recours au crédit. Le déclic s’est fait quand il s’est rendu compte que les dix-sept hectares de son exploitation ne lui appartenaient pas mais appartenaient à Dieu et l’argent n’était pas le sien mais celui de son Seigneur. «Plus j’avance, plus je me rends compte que je n’ai pas une grande part dans la pousse et le développement des fruits, des légumes et des céréales.
Je me rends compte que c’est Dieu qui fait 99% du travail.
» Le bon climat, la lumière, le sol riche, les connaissances des agriculteurs: tout cela vient de Dieu, estime Joël.

Il se réjouit de pouvoir travailler avec deux autres chrétiens - dont son frère - et de s’édifier mutuellement.
David Métreau

Eliane et Daniel Hofer, 61 ans
Eliane et Daniel Hofer font partie des deux derniers producteurs de lait du village vaudois de Burtigny depuis 1986. Ils ont un troupeau d’une trentaine de bêtes.

Pour eux, mettre la foi en action dans leur activité professionnelle n’est pas une découverte récente. «En travaillant la terre, nous sommes émerveillés par la perfection de la Création et désirons donc toujours mieux appliquer les principes du Créateur dans la planification et l’exécution de notre travail», affirment-ils en chœur.

Ils prient régulièrement pour l’exploitation, leurs familles, les champs, les animaux ainsi que leurs relations avec les autres agriculteurs. Une fois par semaine, ils prient avec leur fils et son épouse, avec qui ils sont associés. Et Dieu répond à leurs prières: «Nous avons vécu plusieurs guérisons miraculeuses de vaches.

 En 2018, malgré la grande sécheresse, nous avons eu assez de fourrage pour le bétail, signe de la grâce de Dieu.» Pour éviter la solitude de l’agriculteur régulièrement pointée du doigt, le couple Hofer est bien connecté. «Depuis de nombreuses années, nous participons à un groupe de prière pour agriculteurs et métiers de la terre.

Nous nous rencontrons une fois par mois pour échanger nos joies et nos difficultés, écouter Dieu, recevoir ses directives et soigner l’amitié. Il existe de nombreux groupes semblables dans toutes les régions de la Suisse.

Pour plus d'articles, suivez le lien ici

La prière: première des priorités pour le réveil!

     Pouvons-nous avoir le même regard sur la condition de l'Eglise et du monde et ressentir la même affliction que le prophète Jérémie qui pleurait devant l'hécatombe dans laquelle était plongé son peuple: 
"Rempart et murailles n’offrent plus ensemble qu’une triste ruine... Mes yeux se consument dans les larmes, mes entrailles bouillonnent, ma bile se répand sur la terre, à cause du désastre de la fille de mon peuple" (Lamentations 2:8-11)

    Si une telle contrition saisit nos cœurs, alors des larmes couleront de nos yeux et nous serons amenés à crier JOUR ET NUIT au Seigneur pour qu'Il restaure Sa gloire au milieu de nous par un réveil alors que tout semble désolation autour de nous:

       Puissions-nous pleinement prendre conscience qu'un réveil véritable ne s'associe pas bien à l'organisation institutionnelle, car le Saint-Esprit est éteint et attristé lorsque l'homme cherche à Le contrôler et à L'enfermer dans une cage; qu'une manifestation du Royaume de Dieu dans toute sa puissance et sa pureté ne peut se mélanger avec les vains efforts et méthodes humains, mais qu'elle n'est issue que de la GRÂCE SOUVERAINE de Dieu. 

    Voulons-nous donc répondre maintenant à l'appel lancé par le Seigneur à faire de la prière un style de vie et la première des priorités? 
 
Que le Saint-Esprit de Dieu fasse une grande œuvre d'illumination au milieu de Son peuple afin que nous saisissions la précieuse promesse de Dieu qu'Il conserverait Son alliance de fidélité envers un saint reste qui S'HUMILIE, PRIE et SE DETOURNE de SES PECHES (2 Chroniques 7:14), et qu'Il "restaurerait toutes choses". 

    Nous voyons ce ministère de sentinelle décrit en substance mais allégoriquement dans notamment le livre de Néhémie, homme de réveil.

Pour en savoir plus sur le Réveil suivez ce lien!

Respectons la terre...et les paysans...

Ce soir, je suis allée au ciné avec ma copine Fabienne, on a vu un beau film, au nom de la terre, qui nous a vraiment émues. Un film qui libère la parole selon le réalisateur Edouard Bergeon.
Il y a pas de pays sans paysans! Suivez le lien pour écouter l'entrevue sur RTL avec Edouard Bergeon

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Avec son film retraçant l'histoire de son père, un agriculteur sombrant dans la dépression, Édouard Bergeon a touché au cœur plus de deux million de spectateurs. 

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https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/on-est-injuste-avec-les-paysans-fustige-sur-rtl-le-realisateur-d-au-nom-de-la-terre-7799354400



vendredi, novembre 29, 2019

Soyez réconciliés avec Dieu!

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2 Corinthiens 5 Segond 21 

Nous savons, en effet, que si notre habitation terrestre, qui n'est qu'une tente, est détruite, nous avons dans le ciel un édifice qui est l'œuvre de Dieu, une habitation éternelle qui n'est pas faite par la main de l'homme. Et nous gémissons dans cette tente, avec l'ardent désir de revêtir notre domicile céleste, puisque, après avoir été ainsi revêtus, nous ne serons pas trouvés nus. En effet, nous qui sommes dans cette tente, nous gémissons, accablés, parce que nous voulons non pas nous dévêtir, mais au contraire nous revêtir, afin que ce qui est mortel soit englouti par la vie. Et celui qui nous a préparés pour cela, c'est Dieu, qui nous a donné le gage de l'Esprit.
Nous sommes donc toujours pleins de confiance et nous savons que, tant que nous habitons dans ce corps, nous sommes loin de notre patrie, loin du Seigneur, car nous marchons par la foi et non par la vue. 8 Oui, nous sommes pleins de confiance et nous aimerions mieux quitter ce corps pour aller vivre auprès du Seigneur. C'est aussi pour cela que nous nous efforçons de lui être agréables, soit que nous vivions dans ce corps, soit que nous le quittions. 10 En effet, il nous faudra tous comparaître devant le tribunal de Christ afin que chacun reçoive le salaire de ce qu’il aura fait, bien ou mal, alors qu’il était dans son corps...
17 Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles
18 Et tout cela vient de Dieu qui nous a réconciliés avec lui par [Jésus-]Christ et qui nous a donné le ministère de la réconciliation. 19 En effet, Dieu était en Christ: il réconciliait le monde avec lui-même en ne chargeant pas les hommes de leurs fautes, et il a mis en nous la parole de la réconciliation. 20 Nous sommes donc des ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu adressait par nous son appel. Nous supplions au nom de Christ: «Soyez réconciliés avec Dieu! 21 [En effet,] celui qui n'a pas connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous afin qu’en lui nous devenions justice de Dieu.»

dimanche, novembre 17, 2019

Ne nous laissons pas prendre au piège!

Joël 2.25  

Je vous restituerai les années
Qu’ont dévorées la sauterelle,
Le grillon, le criquet et la chenille,
Ma grande armée que j’avais envoyée contre vous.


Philippe Laügt

 Le premier amour a été abandonné et l’égarement de nos coeurs, attirés par ce monde dont nous avions pourtant été retirés, est devenu continuel. Beaucoup de sauterelles, aux goûts très variés, ont envahi nos vies. Elles ont en commun leur voracité et l’étendue de leurs ravages.
Faisons devant Dieu, sans complaisance, chacun pour soi, le compte de leurs méfaits. Combien d’années dans notre courte vie ont déjà été mangées ainsi par la sauterelle, l’yélek, la locuste ou la chenille ?
 Passe-temps qui envahissent peu à peu notre vie, sans qu’ils nous paraissent dangereux, mais qui nous font perdre bien des heures précieuses à la lumière de l’éternité. 
Convoitises diverses, qui tendent toujours à nous enlacer (Jacq. 1:14), à dévorer ce qui appartient au Seigneur (1 Cor. 6:19).
 Travail absorbant, auquel se lie souvent ; hélas, l’amour de l’argent (1 Tim. 6:10) qui peut ainsi devenir une idole, et tout envahir, au détriment d’une croissance spirituelle harmonieuse (Marc 4:19). 
Piège si grand enfin, de nous laisser prendre par les goûts scientifiques, artistiques, littéraires ou même les activités politiques de ce monde, au lieu d’être transformés par le renouvellement de notre entendement, pour discerner la volonté de Dieu en toutes circonstances (Rom. 12:2).
Peut-être sommes-nous prêts, hélas, à passer légèrement sur nos mauvaises tendances sans en juger les fruits, autrement dit les mortifier [elles sont toujours là], à excuser notre manque de zèle pour Christ, mais l’état du témoignage suscité dans les derniers jours montre clairement le peu de fruit produit à la gloire de Dieu.
L’Ennemi voudrait tirer profit de notre misère, il cherche à affaiblir les forces des porteurs de fardeaux (Néh. 4:10). Il s’efforce de détruire tout rassemblement dont Christ est effectivement le centre, où les droits de Christ sont reconnus, et les résultats glorieux de son oeuvre proclamés.
Le déclin est trop accentué, insinue cet ennemi, il est impossible de revenir en arrière. Voyez ces murailles en ruine, ces portes consumées par le feu, il y a trop de décombres ! (Néh. 2:13). Si nous lui prêtons l’oreille, il ajoutera bientôt : « Vous comprenez bien qu’on ne peut plus appliquer la Parole à la lettre, il faut adapter ses enseignements aux besoins de notre temps ».
Se laisser séduire par ces raisonnements spécieux provoquerait inévitablement des ravages plus grands encore. Dieu n’abaisse jamais le niveau. « À la loi et au témoignage » est toujours, malgré la ruine, le mot d’ordre pour les siens. Et l’Écriture nous avertit : Si nous ne parlons pas ainsi, il n’y a pas d’aurore possible pour le peuple de Dieu (És. 8:16 et 20).
L’heure est tardive, la venue du Seigneur est proche, mais encore maintenant, la confession de notre état de décadence spirituelle, accompagnée d’une humiliation vraie pour avoir contribué à cet état de choses et déshonoré ainsi le Nom de Christ, est le seul chemin possible pour une restauration (Joël 2:14 ; Osée 6:1). 
Ce n’est pas par nos propres efforts que nous pourrons retrouver ce qui a été perdu. Mais Dieu est puissant pour nous restaurer si, abandonnant toute prétention, nous nous rejetons entièrement sur Lui, sur sa grâce parfaite. 
Un coeur brisé et humilié, qui tremble à sa Parole, est d’un grand prix devant Lui. Cette grâce brille en faveur d’une Naomi, revenue à vide, et dans l’amertume d’une vie gaspillée loin du pays (Ruth 1:21 ; 4:15).
Emparons-nous de la promesse que Dieu fait ici à son peuple terrestre, c’est une des plus précieuses de la Parole : « Je vous rendrai les années qu’a mangées la sauterelle, l’yélek, et la locuste, et la chenille… vous mangerez abondamment et serez rassasiés, et vous louerez le nom de l’Éternel, votre Dieu, qui a fait des choses merveilleuses pour vous… » (Joël 2:25, 26). Il Lui appartient d’effacer les tristesses et la honte passées, d’accorder à celui qui est revenu de tout son coeur quelque chose de meilleur que ce qu’il avait perdu en s’écartant. « Quand Dieu nous fait grâce nous trouvons non seulement la grâce, mais Dieu lui-même », disait un de nos anciens conducteurs. Alors la louange jaillit de nos coeurs vers Celui qui daigne se trouver au milieu d’un faible résidu, vraiment réuni à Son Nom.