mercredi, novembre 29, 2017

Le Seigneur répond aux prières!

Image result for les hebrides
Hebrides
Au large de la côte Est de l'Ecosse, se trouve un petit groupe d'îles appelé Hébrides. Entre 1949 et 1952, un réveil de grande envergure balaya ces îles en réponse aux prières du peuple de Dieu. L'évangéliste Duncan Campbell fut l'un des instruments de ce réveil. Il était venu dans l'île de Lewis pour conduire une campagne d'évangélisation de dix jours mais finit par y rester deux ans. Les comptes-rendus qui suivent témoignent de la puissance de la prière d'intercession durant cette puissante visitation de Dieu.

Peggy & Christine Smith: Elles prièrent une promesse
Dans une petite maison au bord de la route dans le village de Barvas, vivaient deux femmes âgées, Peggy et Christine Smith. Elles avaient respectivement 84 et 82 ans. Peggy était aveugle et sa sœur avait le dos pratiquement courbé en deux à cause d'une arthrite. Comme il leur était impossible d'assister à des cultes publics, leur humble maison devint un sanctuaire où elles rencontraient Dieu. La promesse suivante leur fur donnée : " Je déverserai de l'eau sur celui qui a soif et qui habite une terre desséchée ". Elles prièrent cette promesse dans la supplication jour et nuit. Une nuit, Peggy eut une révélation : le réveil allait venir et l'église de ses pères serait de nouveau remplie d'une foule de jeunes gens ! Elle envoya un message au pasteur James Murray MacKay, dans lequel elle lui disait ce que Dieu lui avait montré, et lui demandait de convoquer ses anciens et des diacres tous ensemble pour des temps particuliers où ils devraient s'attendre à Dieu. Dans le même district, un groupe d'hommes priant dans une grange expérimenta un avant-goût de la bénédiction à venir.
Une nuit, alors qu'ils s'attendaient à Dieu, un jeune diacre se leva et lut une partie du psaume 24 : " Qui montera à la montagne de l'Eternel ? Ou qui se tiendra dans Sa sainte demeure ? Celui qui a les mains lavées et le cœur pur ; qui n'a pas élevé son âme dans la vanité, ni juré avec tromperie. Celui-là recevra la bénédiction du Seigneur. " Se tournant vers les autres, il dit : " Frères, il me semble qu'il est déplacé et déshonnête de notre part de prier comme nous le faisons, si nous-mêmes ne sommes pas dans une relation droite avec Dieu. " Alors, en levant les mains vers le ciel, il cria : " Oh Dieu, est-ce que mes mains sont lavées ? Est-ce que mon cœur est pur ? " Il n'alla pas plus loin, mais tomba à terre prostré. Une conscience de la présence de Dieu remplit la grange et un flot de puissance surnaturelle fut relâché dans leurs vies. Ils avaient pénétré dans une nouvelle sphère de la conscience de Dieu, croyant implicitement dans la promesse de réveil.
Mais, avant de quitter Peggy et sa sœur, une autre histoire mérite d'être relatée qui illustre plus encore la sainte intimité qu'entretenait cette femme avec son Seigneur. Lorsque le mouvement fut à son paroxysme, Peggy envoya un message à Duncan, lui demandant d'aller dans un petit village isolé afin d'y tenir une réunion. Les gens de ce village n'étaient pas favorables au réveil et avaient déjà émis clairement leur décision de ne pas s'y impliquer. Duncan expliqua la situation à Peggy et lui dit qu'il remettait en question la sagesse de sa requête. " Par ailleurs ", ajouta-t-il, " je n'ai aucune conviction du Seigneur pour me rendre à cet endroit. " Elle se tourna dans la direction de sa voix, ses yeux aveugles parurent pénétrer son âme. " Mr. Campbell, si vous demeuriez aussi près de Dieu que vous devriez l'être, Il vous révèlerait Ses secrets à vous aussi. " Duncan se sentit à la place d'un subordonné qui se faisait réprimander parce qu'il avait défié son général. Il accepta humblement la réprimande comme venant du Seigneur, et demanda s'il pouvait avec Mr. MacKay passer la matinée dans la prière avec elles. Elle accepta, et peu après, lorsqu'ils s'agenouillèrent ensemble dans la maison, Peggy pria : "Seigneur, Tu te souviens de ce que Tu m'as dit ce matin, comme quoi Tu allais sauver sept hommes qui deviendraient des piliers dans l'église de mes pères. Seigneur, j'ai donné Ton message à Mr Campbell et il semble qu'il ne soit pas prêt à le recevoir. Oh Seigneur, donne-lui de la sagesse car il en a désespérément besoin ! " " D'accord, Peggy, j'irai dans le village", dit Duncan lorsqu'ils finirent de prier. Elle répondit : " Vous feriez mieux de le faire ! " " Et Dieu vous donnera une assemblée. " Arrivant au village à sept heures, ils virent un grand bungalow rempli de monde jusqu'au maximum de sa capacité, et entouré d'un grand nombre de gens tout autour. Duncan délivra son message : " Dieu ne tient pas compte des temps d'ignorance, mais maintenant Il ordonne à tous les hommes en tous lieux de se repentir. " Lorsqu'il eut fini de prêcher, un ministre lui fit signe de venir au bout de la maison pour parler de nouveau à un certain nombre de personnes qui se lamentaient sur leurs péchés - et parmi eux, se trouvaient les sept hommes de Peggy !

John : il mit Dieu à l'épreuve dans la prière

Une opposition au réveil se leva dans d'autres endroits de l'île. Une soirée fut organisée dans la maison d'un ancien en vue de s'attendre à Dieu. Aux alentours de minuit, Duncan se tourna en direction du forgeron local : " John, je crois que le moment est venu pour toi de prier. " Avec son béret dans la main, John se leva pour prier, et au milieu de sa prière, il s'interrompit, leva la main droite vers le ciel et dit : " Oh Dieu, Tu as fait la promesse de déverser de l'eau sur celui qui est assoiffé et qui habite une terre desséchée, et, Seigneur, c'est en train d'arriver. " Il s'interrompit de nouveau, puis continua : " Seigneur, je ne sais pas comment les autres ici se tiennent dans Ta présence; je ne sais pas comment les ministres se tiennent, mais, Seigneur, si je connais quelque chose de mon propre cœur, je me tiens devant Toi comme un vase vide, affamé de Toi et d'une manifestation de Ta puissance. " Il s'arrêta de nouveau et après un moment de silence tendu, il s'écria : " Oh Dieu, Ton honneur est en jeu, et maintenant je Te mets au défi d'accomplir Ton engagement d'alliance et de faire ce que Tu as promis de faire. " Beaucoup parmi ceux qui étaient présents témoignèrent qu'à ce moment précis, la maison trembla... Un ministre qui était debout à côté de Duncan se retourna et s'exclama : " Mr Campbell, un tremblement de terre ! " Mais l'esprit de Duncan était fixé sur le quatrième chapitre des Actes, où les premiers chrétiens étaient réunis dans la prière, et où l'on peut lire la chose suivante : " Quand ils eurent prié, l'endroit où ils étaient réunis trembla, et ils furent tous remplis du Saint-Esprit. "

Donald : le garçon qui priait

Parmi ceux qui se convertirent la nuit suivante, se comptait un garçon de 15 ans qui devint une aide remarquable dans le réveil. Ce jeune garçon devint un guerrier de la prière de " première ligne ". Un jour, Duncan entra dans sa maison et demanda s'il y avait quelqu'un. Il le trouva à genoux dans la ferme avec la Bible ouverte devant lui. Lorsqu'il fut interrompu, le garçon expliqua calmement : " Excusez-moi un petit peu, Mr Campbell, je suis en train d'avoir une audience avec le Roi ".
 L'une des effusions de l'Esprit les plus intenses de tout le réveil survint lorsqu'on lui demanda de prier. Dans le poste de police à Barvas, une nuit, il se leva, frappa simplement de ses deux mains, et prononça un mot - " Père ". Tout le monde fondit en larmes alors que la présence de Dieu envahissait la maison. A Callanish, il pria jusqu'à ce que la puissance de Dieu prît possession de ceux qui étaient morts dans leurs péchés, les transformant en pierres vivantes dans l'Eglise de Jésus-Christ. 
Mais l'illustration la plus remarquable de l'onction de Dieu sur lui eut lieu à Bernera, une petite île au large de la côte de Lewis. Duncan assistait à un service de communion. L'atmosphère était lourde et la prédication difficile, c'est pourquoi il demanda qu'on envoyât de Barvas quelques hommes pour le soutenir dans la prière. Ils prièrent, mais le lien spirituel persistait si fortement qu'en plein milieu de sa prédication, Duncan s'arrêta de prêcher. Juste à ce moment, il remarqua ce garçon, visiblement touché, sous un profond fardeau en faveur des âmes. Il pensa : " Ce garçon est en contact avec Dieu et vit plus près de Lui que moi. " Ainsi, s'appuyant sur le pupitre, il dit : " Donald, peux-tu nous conduire dans la prière ? " Le garçon se leva sur ses pieds et dans sa prière fit référence au quatrième chapitre d'Apocalypse, qu'il avait lu le matin même : " Oh Dieu, j'ai l'impression de contempler à travers la porte ouverte. Je vois l'Agneau au milieu du trône, avec les clés de la mort et de l'enfer à Sa ceinture. " Il commença à sangloter; puis, levant les yeux en direction du ciel, il s'écria : " Oh Dieu, il y a de la puissance là-bas, relâche-la ! " Dans la force d'un ouragan, l'Esprit de Dieu balaya le bâtiment et les portes retenant les eaux du ciel s'ouvrirent. L'église ressemblait à un champ de bataille. D'un côté, beaucoup étaient prostrés sur leurs sièges, pleurant et soupirant; de l'autre côté, certains lançaient leurs bras dans l'air, avec émotion, dans une posture rigide. Dieu était venu !
  
Elle reçut une vision

Une nuit, alors que Duncan restait à Stornoway, une jeune femme vit dans une vision une femme en agonie dans son âme, qui se trouvait à 35 kilomètres de là. Duncan fut informé qu'il devait aller la voir, et sans penser le moins du monde à son propre repos ou sa sécurité, il roula en motocyclette jusqu'au village et trouva les choses exactement comme on le lui avait dit. La parole qu'il prononça apporta la délivrance, et amena la dame troublée au Sauveur. Pas un seul message donné par cette jeune fille à travers ses visions reçues en transe ne se révéla faux. Ceci était un aspect de l'œuvre de Dieu que Duncan ne tentait ni d'encourager ni d'expliquer, mais dont il reconnaissait que c'était de Dieu et refusait d'y interférer, avertissant ceux qui les associeraient à une activité satanique qu'ils s'approchaient dangereusement du péché impardonnable.

Le Boucher Priant
Duncan ne quittait jamais l'île sans rendre visite aux hommes priants, qui avaient une si grande valeur à ses yeux pendant le réveil, et avec lesquels il avait une telle affinité de l'esprit. Il s'émerveillait de leur discernement et de leur vision mondiale dans cette île éloignée au Nord-Ouest. Lorsqu'il arriva chez l'un d'eux, il lança un appel afin de le voir, et il l'entendit prier pour la Grèce dans la ferme. Il ne comprit pas pour quelles raisons un boucher de Lewis pouvait s'intéresser à la Grèce. " Comment se fait-il que vous priiez pour la Grèce aujourd'hui ? ", lui demanda t-il. "Savez-vous où se trouve la Grèce ? " "Non, Mr Campbell, mais Dieu sait, et Il m'a dit ce matin de prier pour la Grèce ! " Deux années plus tard, Duncan fut présenté à un homme de Dublin qui lui raconta l'histoire suivante. Il était allé en Grèce pour un voyage d'affaires et on lui demanda de prendre la parole dans une assemblée chrétienne. L'Esprit de Dieu oeuvra si puissamment qu'il continua à prêcher pendant plusieurs semaines et téléphona à son frère en Irlande pour lui donner des instructions afin qu'il prenne en main ses affaires jusqu'à son retour. Duncan compara les dates et découvrit que le mouvement en Grèce avait commencé le même jour où le boucher avait prié à Bravas !
Le prix d'un réveil envoyé du ciel n'a pas changé. Avant que la conviction du Saint-Esprit ne descendît par flots et ne traversât toutes les îles Hébrides, des hommes forts furent brisés devant Dieu, en travail dans l'agonie de la prière pendant de longues heures de la nuit durant des mois. En faisant cela, en dépit des contraintes exigeantes de la vie domestique et de la vie professionnelle, ces hommes durent prendre du temps pour attendre la volonté de Dieu ! Ceci est sans doute le plus grand problème nous affectant aujourd'hui. Nous avons à notre disposition toutes les inventions et gadgets modernes de la vie pour faciliter le travail et pourtant nous ne pouvons pas prendre le temps de prier ! Quel paradoxe tragique ! A ce sujet, le Dr. Wilbur Smith formula très à propos l'affirmation suivante : " Je n'ai jamais le temps de prier - je dois toujours prendre le temps de le faire ! "

mardi, novembre 28, 2017

L’amour ne compte pas les chromosomes




Nous partageons avec vous la réponse émouvante de Charlotte Fien, porteuse de la trisomie 21, à M. Yadh Ben Achour. Comme vous le savez, le Comité des droits de l'homme de l'ONU rédige actuellement une interprétation officielle du droit à la vie. À cette occasion, M. Ben Achour a recommandé l'avortement systématique des enfants handicapés au titre du droit à la vie.

Choquée par ces propos qui ne pouvaient pas rester sans réponse, Mlle Charlotte Fien a souhaité répondre à M. Ben Achour.

Cette jeune femme de 21 ans est déjà intervenue lors d'une conférence à l'ONU à l'occasion de la journée mondiale de la trisomie 21 du 21 mars 2017.

Nous vous invitions à partager cette vidéo touchante, qui montre l'inhumanité des propos de M. Ben Achour.

De plus, l'ECLJ défend le droit à la vie des personnes handicapées auprès du Comité des droits des personnes handicapées des Nations unies. Nous allons lui remettre ce 30 novembre un rapport contre l'avortement et l'euthanasie des personnes handicapées.
L'ECLJ rédige ce rapport à la demande du Comité dans le cadre d'une consultation des ONG pour son Observation générale sur l'égalité et la non discrimination des personnes handicapées.
Pour en savoir plus lisez ici

vendredi, octobre 13, 2017

Rassasie-nous de ta bonté!

Psaumes 90Louis Segond (LSG)

90 Prière de Moïse, homme de Dieu. Seigneur! tu as été pour nous un refuge, De génération en génération.
Avant que les montagnes fussent nées, Et que tu eussent créé la terre et le monde, D'éternité en éternité tu es Dieu.
Tu fais rentrer les hommes dans la poussière, Et tu dis: Fils de l'homme, retournez!
Car mille ans sont, à tes yeux, Comme le jour d'hier, quand il n'est plus, Et comme une veille de la nuit.
Tu les emportes, semblables à un songe, Qui, le matin, passe comme l'herbe:
Elle fleurit le matin, et elle passe, On la coupe le soir, et elle sèche.
Nous sommes consumés par ta colère, Et ta fureur nous épouvante.
Tu mets devant toi nos iniquités, Et à la lumière de ta face nos fautes cachées.
Tous nos jours disparaissent par ton courroux; Nous voyons nos années s'évanouir comme un son.
10 Les jours de nos années s'élèvent à soixante-dix ans, Et, pour les plus robustes, à quatre-vingts ans; Et l'orgueil qu'ils en tirent n'est que peine et misère, Car il passe vite, et nous nous envolons.
11 Qui prend garde à la force de ta colère, Et à ton courroux, selon la crainte qui t'est due?
12 Enseigne-nous à bien compter nos jours, Afin que nous appliquions notre coeur à la sagesse.
13 Reviens, Éternel! Jusques à quand?... Aie pitié de tes serviteurs!
14 Rassasie-nous chaque matin de ta bonté, Et nous serons toute notre vie dans la joie et l'allégresse.
15 Réjouis-nous autant de jours que tu nous as humiliés, Autant d'années que nous avons vu le malheur.
16 Que ton oeuvre se manifeste à tes serviteurs, Et ta gloire sur leurs enfants!
17 Que la grâce de l'Éternel, notre Dieu, soit sur nous! Affermis l'ouvrage de nos mains, Oui, affermis l'ouvrage de nos mains!

jeudi, octobre 12, 2017

Louons notre Seigneur Jésus-Christ!






Au-dessus des puissances, 
au-dessus des rois, 
Au-dessus de la nature et de la création.

Au-dessus de tous les plans des hommes sages, 
Bien avant le monde, tu existais. 

Au-dessus des royaumes, au-dessus des trônes, 
Au-dessus des merveilles que ce monde a connues,

Par-dessus tous les trésors de la terre, 
Rien ne peut mesurer ta valeur. 

Crucifié, seul, abandonné, 
Tu as souffert, méprisé, rejeté: 
Tel une rose foulée par nos pieds, 
Tu m'as sauvé, tu m'as aimé, par-dessus tout.

samedi, juillet 29, 2017

Un seul médiateur entre Dieu et les hommes!

Résultats de recherche d'images pour « 1 timothee 2:5 »

Dans la lettre aux Hebreux  l'auteur au ch. 4 verset 6 nous dit que nous les croyants résidant sur la terre nous pouvons nous approcher du trône de grâce avec assurance!

Dans sa lettre au disciple Timothée, l'apôtre Paul affirme:
Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, (1 Tim 2:5)

Donc personne d'autre ne peut servir de médiateur. 

Si Jésus est le SEUL médiateur, cela indique que la vierge Marie et les saints ne peuvent pas être des médiateurs.
Ils ne peuvent pas transmettre nos requêtes à Dieu. 

De plus, la Bible nous dit que Jésus-Christ Lui-même intercède pour nous auprès du Père :« C’est aussi pour cela qu’il peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur » (Hébreux 7.25). 

Étant donné que Jésus Lui-même intercède pour nous, pourquoi avons-nous besoin que Marie ou les saints le fassent ?

Aux paroles de qui Dieu serait-il plus attentif qu’à celles de son Fils ? 

Dans sa lettre aux Romains 8.26-27 Paul affirme que le Saint-Esprit, la troisième personne de la trinité intercède pour nous. 

La 2º et la 3º personne de la Trinité intercédant déjà pour nous auprès du Père dans le Ciel, pour quelle raison serait-il nécessaire que Marie ou les saints intercèdent pour nous ? 

Source ici

samedi, avril 22, 2017

Un témoignage extraordinaire!

Mohammed raconte...



Mathieu ch 3 v 17  Dieu parle de Jésus ainsi
En même temps, une voix venant du ciel fit entendre ces paroles : Celui-ci est mon Fils bien-aimé, celui qui fait toute ma joie.
La mission du Messie, Jésus est venu dans le monde pour accomplir la volonté de son père
Dans l'évangile de Jean ch 3 v 16 il est dit: Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.

Résultats de recherche d'images pour « je suis le chemin la vérité et la vie »

dimanche, mars 26, 2017

Lorsque je mentionne Jésus...

Résultats de recherche d'images pour « les mots gentils sont du miel à l'âme et guerissent les os proverbe 16 24 »

Peut-on être complétement satisfait de sa vie? N'avoir aucun regret! N'envier personne!
Est-ce un choix que d'avouer 'oui, je suis heureux/se de ma vie? Et ainsi de rejeter toute tentation de chercher ailleurs un bonheur qui n'est qu'illusion ou apparence!

Les apparences sont trompeuses vraiment et lorsque vous discutez avec des inconnus, j'ai remarqué deux étapes,

1- ce qu'ils vont vous dire en premier (au début de la conversation) va vous attirer vers eux, il y a une sorte de connection et vous vous dites peut-être, cette personne m'interesse...pour une raison ou une autre, en général quelque chose de trivial, de pas trop important et ensuite vient

l'étape 2 qui va vous demander sans doute d'utiliser vos cellules grises assez rapidement. Vous apprenez certaines choses un peu plus intimes sur votre interlocuteur et là que faire?

 Mais là attention afin de ne pas vous fourvoyer sur un chemin dangereux, il est préférable que vous demandiez conseil au Seigneur, en fait c'est vital, impératif.

Donc maintenant vous procédez, vous lui parlez de votre vie avant votre rencontre avec Jésus et votre vie depuis. Vous étiez perdu et maintenant il vous tient dans le creux de sa main.

Je vous avoue franchement que lorsque je mentionne Jésus, je me suis trouvée en face de personnes qui m'ont carrément ri au nez! Et oui, il ne faut pas vous formaliser, passez votre chemin ou continuez à louer le Seigneur et dire tous les bienfaits qu'il déverse sur vous nuit et jour!

samedi, février 18, 2017

Nous prêchons Christ crucifié


Image associée


Notre Roi et Seigneur Jésus-Christ a été crucifié selon le plan de son père notre Seigneur, acceptant de faire la volonté de son père, notre Père, et il est ressuscité, il vit dans mon coeur, vit-il dans ton coeur?

21Car puisque le monde, avec sa sagesse, n'a point connu Dieu dans la sagesse de Dieu, il a plu à Dieu de sauver les croyants par la folie de la prédication. 22 Les Juifs demandent des miracles et les Grecs cherchent la sagesse : 23 nous, nous prêchons Christ crucifié; scandale pour les Juifs et folie pour les païens, 24 mais puissance de Dieu et sagesse de Dieu pour ceux qui sont appelés, tant Juifs que Grecs. 25 Car la folie de Dieu est plus sage que les hommes, et la faiblesse de Dieu est plus forte que les hommes.
1 Corinthiens 21-25

mercredi, février 01, 2017

Jésus-Christ, fils de Dieu, prêchant la bonne nouvelle du royaume!

Le Jardin d'Eden et la chute de l'homme

23 Jésus parcourait toute la Galilée, enseignant dans les synagogues, prêchant la bonne nouvelle du royaume, et guérissant toute maladie et toute infirmité parmi le peuple.

Commençons par rappeler le dialogue polémique qui s’établit entre des pharisiens et l’aveugle de naissance, guéri par Jésus un jour de sabbat en Jean 9. Alors que l’ancien aveugle défend Jésus face à des hommes qui cherchent à le discréditer, ces derniers à bout d’arguments finissent par le jeter dehors avec cette accusation du v. 34 : « Tu es tout entier dans le péché depuis ta naissance, et tu nous fais la leçon ? »
Et ils le jetèrent dehors. Comme le souligne ce simple verset, la maladie incurable est considérée comme une punition de Dieu et c’est ainsi que les aveugles et les sourds, les estropiés et paralysés, les lépreux sont mis dans une catégorie sociale que l’on appelle « les pécheurs ». On y ajoute les publicains, les non-juifs ou païens, les prostituées et divers métiers obligés de manipuler des matières dites impures.

Les guérisons sont des libérations

Un lépreux vient auprès de Jésus ; il le supplie et, tombant à ses genoux, lui dit : « Si tu le veux, tu peux me purifier. » Saisi de compassion, Jésus étendit la main, le toucha et lui dit : « Je le veux, sois purifié. » (Mc 1,40-41).

Marc insiste sur la compassion de Jésus pour cet homme; elle est manifeste dans son geste d’étendre la main sur lui pour le toucher. N’était-ce pas la plus belle manière de lui faire comprendre que Dieu l’aimait avec tendresse. Le libérer de sa culpabilité, lui faire retrouver sa dignité et le réintégrer au sein de la communauté humaine sont aussi importants que le guérir de sa lèpre.

Un peu plus loin Marc raconte la guérison d’un paralysé :

Arrivent des gens qui lui amènent un paralysé, porté par quatre hommes. Comme ils ne peuvent l’approcher à cause de la foule, ils découvrent le toit au-dessus de lui, ils font une ouverture, et descendent le brancard sur lequel était couché le paralysé. Voyant leur foi, Jésus dit au paralysé : « Mon enfant, tes péchés sont pardonnés. » (Mc 2,3-5)

Le récit est très imagé. On cherche à comprendre comment ces hommes vont faire pour hisser le paralytique sur le toit et le descendre jusqu’à Jésus. Encore une fois, ce dernier commence par parler au malade. On attend de lui une parole qui le libère de sa paralysie. Non ! Il commence par lui dire : « Mon enfant, tes péchés sont pardonnés. ». Cette parole libère l’homme de la culpabilité qui a pu s’accumuler en son cœur durant ses années de maladie. Alors que Jésus invite le paralysé à se relever et à marcher, une polémique commence. Le pardon des péchés ne plaît pas à tous.

L’appel d’un « pécheur »

Tout de suite après, Marc place le récit de l’appel de Lévi, le publicain. Il appartient à ce groupe d’hommes qui travaillent avec l’occupant romain pour lequel il collecte l’impôt. À ce titre-là, haï par tout un peuple, il a été classé parmi les pécheurs. Cela n’empêche nullement Jésus de l’inviter à le suivre et à devenir l’un des Douze. Lévi est comblé de joie. Il veut célébrer cet événement qui le bouleverse, en invitant ses propres amis publicains à sa table, en compagnie de Jésus et ses disciples.

La désapprobation est totale :

Comme Jésus était à table dans la maison de Lévi, beaucoup de publicains et de pécheurs vinrent prendre place avec Jésus et ses disciples… Les scribes du groupe des pharisiens, voyant qu’il mangeait avec les pécheurs et les publicains, disaient à ses disciples : « Comment ! Il mange avec les publicains et les pécheurs ! » Jésus, qui avait entendu, leur déclara : « Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. » (Mc 2,15-17)

Le mépris dans lequel sont tenues certaines personnes, du fait de leur état, de leur travail, de leur origine ou nationalité, appartient à une « violence ordinaire » qui s’accentue par le fait de l’attribuer à Dieu. Jésus s’insurge contre cette situation et rappelle à ceux qui croient bien connaître Dieu que ce dernier ne veut pas la mort du pécheur mais qu’il vive.

En Mc 3,1-6, la polémique qui oppose Jésus aux autorités religieuses de son temps, les scribes et les pharisiens, atteint son paroxysme. Jésus participe à la célébration d’un sabbat. Dans la synagogue est présent un homme à la main atrophiée :

On observait Jésus pour voir s’il le guérirait le jour du sabbat. C’était afin de pouvoir l’accuser. Il dit à l’homme qui avait la main atrophiée : « Lève-toi, viens au milieu. » Et s’adressant aux autres : « Est-il permis, le jour du sabbat, de faire le bien ou de faire le mal ? de sauver une vie ou de tuer ? » Mais eux se taisaient. Alors, promenant sur eux un regard de colère, navré de l’endurcissement de leurs cœurs, il dit à l’homme : « Étends la main. » Il l’étendit, et sa main redevint normale. (Mc 3,1-6)

Jésus veut faire comprendre le sens de sa démarche; il ne rencontre qu’un refus de toute discussion. Pour les uns, la loi qui accompagne la célébration du sabbat ne souffre aucune exception; pour Jésus, le sabbat évoque la libération de l’esclavage du peuple d’Israël en Égypte. Pour Jésus, c’est le désir de Dieu que la libération de l’homme enchaîné s’exerce précisément en ce jour de sabbat. Il fait sauter le verrou d’une loi qui ne souffre aucune exception. Ses adversaires ne le lui pardonneront pas. Marc note en fin d’épisode : « Une fois sortis, les pharisiens se réunirent en conseil avec les partisans d’Hérode contre Jésus, pour voir comment le faire périr. » (Mc 3,6)

La violence contre Jésus
Dès le début de son évangile, Marc les inscrit dans une double perspective : d’un côté, il souligne de quelle manière Jésus fait apparaître dans ses actions le visage d’un Dieu « Bonne Nouvelle » pour tous les hommes, plein d’amour et de miséricorde pour les laissés-pour-compte et les petits, désireux de redonner vie à tous ceux qui souffrent, sont malades ou gisent dans le fossé de la désespérance.

En face à lui, sont placés ses adversaires qui ne veulent rien changer, utilisent la loi divine comme une contrainte absolue, une caution religieuse qui leur donne le droit de condamner et de rejeter tous ceux qui n’observent pas cette loi. Cet antagonisme ira grandissant tout au long de l’évangile et finira par la condamnation de celui qui osa dire que « le sabbat a été fait pour l’homme et non l’homme pour le sabbat » (Mc 2,27).

  Dans l’ensemble des faits et gestes de Jésus apparaît le visage d’un Dieu miséricordieux dont la priorité et l’unique désir sont de partager son amour et sa grâce à tous les humains.

Source: Roland Bugnon, CSSP
Fribourg

mardi, janvier 31, 2017

N'oubliez pas l'hospitalité

Genèse 18 Photos & Genèse 18 Images - Alamy

« N’oubliez pas l’hospitalité : elle a permis à  certains, sans le savoir, de recevoir chez eux des anges. »

(Hebreux 13,2 ; première lecture du vendredi 3 février).

Selon la Bible, Abraham reçut autrefois sous le chêne de Mambré trois hommes que les artistes ont toujours représentés comme des anges (Genese 18,2s).

Dans les langues de la Bible, le mot « ange » peut tout aussi bien se traduire « messager » et son emploi renvoie souvent discrètement à la présence ou à l’action de Dieu lui-même.

Dans un monde où les frontières et les portes ont tendance à se refermer et où la défense prioritaire des intérêts personnels ou nationaux exclut l’autre, le différent, l’étranger, que se passerait-il si nous prenions au sérieux le conseil de ne pas oublier l’hospitalité?




lundi, janvier 30, 2017

Dans un établissement catholique...

5-Simon de Cyrène aide Jésus à porter la croix-petite
Site Chemindecroix

les élèves peuvent-ils porter des signes religieux ?

Sur quels fondements, juridiques et pédagogiques, répondre aux « signes religieux » qui seraient portés par des élèves dans un établissement catholique ?
Dans un établissement privé, « le chef d'établissement assume la responsabilité de l'établissement et de la vie scolaire » (art. R442-39 du Code de l’éducation)
La loi d’interdiction du port de signes religieux ostensibles ne s’applique qu’aux établissements publics (art. L141-5-1 du Code de l’éducation)
Même dans un établissement public, « Elle ne s'applique pas aux candidats qui viennent passer les épreuves d'un examen ou d'un concours dans les locaux d'un établissement public d'enseignement et qui ne deviennent pas de ce seul fait des élèves de l'enseignement public » (art. 2.3 de la circulaire d’application de la loi)

Si le droit ne fait pas explicitement le lien entre voile islamique et dissimulation du visage, il convient cependant d’avoir une attention particulière pour vérifier que le port du voile n’exprime pas, de façon contrainte ou volontaire, ce que combat précisément la loi sur l’interdiction de la dissimulation du visage : atteinte au respect de la dignité de la personne, refus de communiquer avec les autres, refus ostensible de l’égalité entre les hommes et les femmes (circulaire d’application de la loi 2010-1192 interdisant le dissimulation du visage dans l’espace public et exposé des motifs de la même loi). Le port de la kippa, par exemple, n’est pas suspect de traduire cela.

Enfin, il revient au chef d’établissement, aux enseignants au personnel de veiller à la sécurité des élèves à l'adaptation de leur tenue à l'activité pratiquée (tout particulièrement en laboratoires, ateliers, activités sportives).

En conséquence :
Il n’y a pas lieu d’interdire systématiquement le port de signes religieux dans un établissement catholique qui est par ailleurs « ouvert à tous les élèves par choix pastoral » (art. 10 du Statut de l’Enseignement catholique).

Le chef d’établissement est souverain pour faire respecter l’ordre dans son établissement. Il lui revient d’agir individuellement et en application du règlement intérieur contre toute personne qui, à travers sa tenue ou son comportement, nuirait à l’ordre, à la sécurité ou au bon fonctionnement de l’établissement ou du centre d’examen. Mais il s’agit alors de mesures individuelles et circonstanciées et non pas la seule application d'une règle générale.

dimanche, janvier 01, 2017